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Présentation de la ville Enfidha Economie et potentialités d’Enfidha Infrastructures de base et équipements collectifs à Enfidha Emploi à Enfidha L'aéroport Enfidha-Hammamet Les secteurs d’activité les plus développés à Enfidha   Cette délégation rattachée au gouvernorat de Sousse se trouve à 107 km environ de Tunis. Elle recense quelque 9980 habitants en 2004. La ville possède un patrimoine culturel remarquable, des plages de sable blond, une infrastructure hôtelière acceptable, des ports de plaisance, des souks animés et un aéroport international s’étendant sur une superficie de 75 000 m2. Ces atouts attirent les touristes qui sont de plus en plus nombreux à venir visiter l’arrière-pays et les déserts. Présentation de la ville Enfidha D’abord, pour la petite histoire, Enfidha appartenait autrefois au bey de Tunis. Puis elle a été offerte à Kheiriddine Pacha pour le remercier par son intervention au titre de droits de succession de la famille Sadok bey sur le trône de souverain vassal du sultan.Puis, le domaine passe aux mains d’une société marseillaise lorsque Kheiriddine quitte le pays pour Constatinople. Plus tard, une société afro-africaine l’acquiert et Enfidha devient un territoire où les français cohabitent avec la population tunisienne. La ville se trouve entre les pentes, les monts de Zaghouan et la mer. Le magnifique sable, les larges plages ensoleillées, le soleil, le musée archéologique, l’histoire et la culture attirent des milliers de touristes chaque année.Une visite dans l’arrière-pays permet de découvrir des paysages de désert aux magnifiques canyons et aux vallées fertiles. Cet important centre agricole pendant la colonie française est répartie en 34 villes. On y retrouve un style d’architecture hybride qui associe à la fois les caractéristiques des provinces françaises et des villes locales. Des types des installations rurales romaines et byzantines sont également abondants dans la ville (chapelles, villas…) avec des vestiges de l’ère chrétienne. Cette région ensoleillée a une température moyenne de 19,9 degrés avec des étés courts de 3 mois environ du mois de juin au septembre. Pendant l’année, les degrés de la température s’échelonnent entre 6 degrés à 32 degrés et elle peut atteindre plus de 36 degrés en période estivale. Economie et potentialités d’Enfidha Concernant l’économie de cette délégation de Sousse,elle est axée principalement à la culture des céréales, des olives, des dattes, des vignes. Les habitants élèvent également des cheptels. Le secteur agroalimentaire emploie également une partie de la population active.Les objectifs à prévoir pour les prochaines années sont la diversification de production agricole afin de rentabiliser le secteur et de répondre aux besoins des industries. Le développement des cultures à haute valeur ajoutée et l’aménagement de pépinières d’alfa figurent aussi dans les projets de promotion de ce secteur.La région possède aussi une zone industrielle de 150 ha dédiée aux projets industriels en mécaniques du pôle de compétitivité. Celle-ci vise à favoriser le développement et l’innovation dans le domaine de la mécatronique. Les premières usines en électroniques sont d’ailleurs opérationnelles vers la fin de cette année.La région possède également une zone industrielle séparée en 3 ZI : Enfidha I, II et III. Cette dernière en cours d’aménagement s’étend sur une superficie de 36 ha. Enfidha I, quant à elle, possède 48 lots occupés par des usines importantes contre 127 lots pour Enfidha II occupés par des grandes entreprises industrielles et des petits métiers. Des entreprises étrangères comme Danone, Autoliv, Gardeur , Sagem, Arco-Soniaetcse sont implantés dans cette délégation de Sousse. Par ailleurs, en dépit de ses 3 000 ans d’histoire laissée par les vestiges du site archéologique du Carthage, ellepromet un potentiel technologique élevé. En effet, cette région fait l’objet du projet de Tunisia Economic City. Il s’agit de la création d’une cité économique et touristique avec des tours jumelles, des hôtels de luxe, des centres de commerce, de cité médiatique et universitaire, de cité de loisirs etc. sur une superficie de 90 m2. Ce type de « ville intelligente » sera un portail économique entre les pays arabes voisins etl’Europe. Le coût de cet investissement qui regroupe une cinquantaine de sociétés internationales est estimé à 50 milliards de dollars. Le projet promet de fournir quelque 250 000 emplois.La région reçoit également une autre enveloppe de 7 millions de dollars en vue de la création d’une zone irriguée et l’aménagement des pistes agricoles. Le port des eaux profondes à Enfidha permet aussi de relancer l’économie de cette région afin de diminuer les disparités régionales. Par ailleurs, cette région se démarque aussi par son potentiel touristique. Citons entre autres l’ancienne Upenna, le cimetière militaire d’Enfidha, les médinas, les km de plages, les safaris, le désert… Infrastructures de base et équipements collectifs à Enfidha La ville est un point de jonction important pour les axes de routes de la RN1 et de la RN2. Elle se trouve aussi sur le trajet de la ligne de chemin de fer qui relie le pays à Sfax. La municipalité possède également un aéroport international qui sert à désembouteiller les aéroports de Tunis et de Monastir. Cette structure a une capacité d’accueil finale de 22 millions de passagers et une piste d’atterrissage s’étalant sur 3 300 m et un tour de contrôle de 85 m de haut. Cette région dotée d’un potentiel agricole et touristique non négligeable fait également l’objet des projets de création d’infrastructures dont certains sont déjà réalisés comme l’aéroport d’Enfidhadont nous avons parlé qui est déjà fonctionnel. On retrouve également la construction d’autoroute Enfidha-Gafsa, le projet de port en eaux profondes. Ce dernier fait partie du projet Tunisia Economic city. Il sera l’un des plus modernes parmi les ports existants et il disposera de tous les services de manutention et de stockage. Il sert à combler l’insuffisance de capacité des ports à Méditerranée du fait de son emplacement à un carrefour maritime, aérien et routier.  Concernant les structures sanitaires publiques et touristiques, Enfidha possède un hôpital de circonscription et des hôtels et maisons d’hôtes pour accueillir les touristes comme l’apart Hergla diamond, la Résidence El amen situés à une dizaine de km du musée d’Enfidha. La région possède également quelques centres de formation et d’apprentissage professionnels. Sans oublier la Novation city qui s’étend sur 250 ha répartie sur Sousse et Enfidha avec une école d’ingénieur, 2 centres de recherches mécatroniques etc. Emploi à Enfidha Le taux de chômage à Sousse et à Enfidha est faible comparé aux autres gouvernorats. Il avoisine 9,7 % contre 25,6 % à Gafsa et à Tozeur. Cependant, la grève générale de l’année 2016 a montré l’insatisfaction de la population sur la situation d’emploi dans la ville. La cause en est principalement le licenciement abusif de quelques employés dans l’aéroport et le taux de pauvreté dans la ville.Mais le gouvernement promet la mise en place d’une relance de l’économie avec la promotion des secteurs de manufacture, de l’agriculture et de tourisme. La construction du port des eaux profondes de cette région permet également de fournir des emplois aux jeunes et cadres de la ville. Le projet de ville intelligente est aussi un grand réservoir d’emplois de 2500 postes. Ces deux projets pourront aider la délégation à rattraper son retard au développement. Enfin, pour le mois de juillet de cette année, le gouverneur a aussi mis en route un projet de développement intégré d’un montant de 10 millions de dollars dont 3 millions pour le financement des projets individuels productifs.   L'aéroport Enfidha-Hammamet L’aéroport d'Enfidha-Hammamet, également connu sous le nom d'aéroport international d'Enfidha, est un aéroport tunisien situé près d'Enfidha et de Hammamet. Voici quelques informations générales sur cet aéroport : Emplacement : L’aéroport est situé dans la région d'Enfidha, à environ 40 kilomètres au nord de la ville de Sousse et à environ 100 kilomètres au sud de la capitale tunisienne, Tunis. Ouverture : L’aéroport a été inauguré en 2010 pour faire face à l'augmentation du nombre de touristes visitant la région. Utilisation principale : Il est principalement utilisé par les compagnies aériennes charter et les vols saisonniers, en particulier pendant la haute saison touristique. Capacité : L’aéroport d'Enfidha-Hammamet a une capacité annuelle de plusieurs millions de passagers. Infrastructures : L’aéroport est équipé d'installations modernes pour accueillir les voyageurs, y compris des boutiques hors taxes, des lounges, des restaurants et des services de location de voitures. Destinations : Il dessert principalement des destinations européennes, en particulier pendant la saison estivale, avec des vols charter reliant la Tunisie à des pays tels que la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et d'autres. L’aéroport d’Enfidha peut faire travailler des plateformes de livraison pour servir l’ensemble du personnel actif et présent à l’aéroport.    Les secteurs d’activité les plus développés à Enfidha Enfidha, en tant que région en Tunisie, se caractérise par divers secteurs d'activité qui contribuent à son développement économique. Voici quelques-uns des secteurs d'activité qui peuvent être importants à Enfidha: Enfidha : est connue pour ses stations balnéaires, ses plages et son emplacement près de la ville touristique de Hammamet. Le tourisme est donc un secteur majeur de l'économie locale, avec des hôtels, des restaurants, des services de loisirs et des activités liées au tourisme. Agriculture : L’Agriculture joue un rôle important dans l'économie tunisienne en général, et Enfidha n'y fait pas exception. Les terres fertiles de la région peuvent être utilisées pour la culture de divers produits agricoles. Industrie : Certaines zones peuvent être dédiées à des activités industrielles, qu'il s'agisse de fabrication, de transformation ou d'autres activités liées à l'industrie. Transport et Logistique : En raison de la présence de l'aéroport international d'Enfidha, le secteur du transport et de la logistique peut être un contributeur clé à l'économie locale. Cela peut inclure le transport de passagers et de marchandises. Commerce : Les activités commerciales, y compris le commerce local et le commerce lié au tourisme, peuvent jouer un rôle majeur dans l'économie locale. Services : Les services, tels que la santé, l'éducation, et d'autres services professionnels, sont souvent des moteurs économiques importants dans n'importe quelle région. Il est important de noter que le développement économique peut varier d'une zone à l'autre à l'intérieur d'Enfidha, et la situation économique peut évoluer au fil du temps. Les autorités locales et les organismes de développement peuvent jouer un rôle dans la promotion de divers secteurs pour stimuler la croissance économique. Plusieurs services peuvent être développés à Enfidha avec son aéroport qui peut permettre le développement de plusieurs activités comme les chaines d’hôtels .    
  Découpage administratif de Monastir Economie et potentialités Infrastructures de base et équipements collectifs Emploi à Monastir Les métiers les plus demandés à Monastir Les avantages dont dispose la ville de Monastir par rapport aux autres villes de la Tunisie   Cette ville côtière de Sahel en Tunisie est située à quelque 16O km de la capitale. Sa superficie s’étend sur 1 024 km2. Etymologiquement, le nom de la ville pourrait provenir du mot monastère. L’histoire de la civilisation de ce gouvernorat remonte dans la période paléolithique moyenne dans les 3 000 ans avt J.C. Il fait d’ailleurs partie des premières colonies arabes construites en Ifriqiya et on penserait qu’il serait l’antique Ruspina. Tour d’horizon sur les potentialités et les opportunités d’emplois dans cette région. Découpage administratif de Monastir Ce gouvernorat crée en 1974 se trouve au cœur de la Méditerranée, à proximité de l’Europe. Il est entouré par Sousse au nord, Mahdia au sud, et la mer méditerranéenne. Il est divisé en 13 délégations, une trentaine de municipalités et 77 imadas. Ces délégations sont par l’ordre alphabétique Bekalta, Bembla, Beni Hassen, Jemmal, Ksar Hellal, Ksibet-el-Médiouni, Moknine, Monastir, Ouerdanine, Sahline, Sayada-lamta-Bou-hajar, Téboulba, et Zéramdine. Monastir qui est d’ailleurs le chef-lieu et Moknine sont les régions les plus peuplées selon le recensement en 2014 avec une population de 81294 et 75 885 pour Moknine.Le taux de croissance démographique environne 1,8 %. Tandis que le taux d’urbanisation est estimé à 100 %. Depuis octobre 2017, AkremSebri est à la tête de ce gouvernorat qui compte environ 548 820 habitants avec une population active de 189 400. La température moyenne avoisine 12°C à 20 °C. Quant à la mesure de quantité de pluie tombée chaque année dans cette région, elle affiche 280 à 400 mm. Ce gouvernorat est jumelé avec la région du Rhône en Alpes et Münster en Allemagne. Economie et potentialités Le secteur industriel, le tourisme et l’agriculture constituent les principales activités de la population. Les industries textiles et habillement sont les premiers fournisseurs d’emplois. La plupart de leur production est acheminée en Europe. On enregistre environ 1200 entreprises et une douzaine de zones industrielles dans la région. Ces ZI sont réparties à Moknine, Benane, Bembla, Jemmal, Monastir, Ksal, Teboulba, Touza, MenzelHayet et la technopole de Sahline. 83 % des emplois industriels sont implantés dans les environs des délégations de Ksar et Bembla. L’économie de cette région repose aussi sur l’agriculture. Les 86 % des terres destinées à l’agriculture dont 13 125 ha sont des zones irriguées publiques ou privées. 450 ha sont des forêts contre 4 600 ha pour les parcours. La production de cheptel environne 74 500 têtes (bovin, caprin, ovin). Concernant les principaux produits agricoles, la région produit notamment des produits de pêche (23 983 t/an), de viande rouge, de volaille, de lait, d’huile et d’olive. La culture d’olive s’étend sur une superficie de 60 000 ha. Monastir se fait aussi une réputation dans la production de culture de légumes (169 702 t/an) et d’arboriculture (11 297 t). Le développement de l’agriculture est favorisé par la présence de 8 lacs collinaires et des barrages collinaires. L’installation d’une douzaine de sites aquacoles dans la lagune de Monastir permet aussi à la région de se lancer dans l’élevage de dorade et de loups de mer. Le secteur touristique occupe la troisième occupation de la population avec les hôtels de luxe au bord de la mer, les terrains de golf… la région attire des nombreux touristes étrangers. Le secteur touristiquepossède plus d’une cinquantaine d’unités hôtelières totalisant une capacité d’hébergement de plus de 25 440 lits. Ces hôtels offrent 9 000 emplois. Outre le ribat de 8 e siècle, la grande mosquée, la mosquée Bourguiba, les musées, le souk, les iles Kiriates.., la ville dispose également d’autres atouts comme le port de plaisance, des centres de plongée, deux terrains de golf, un hippodrome, des boîtes de nuit etc. Les animations abondent entre les activités ludiques et sportives. Depuis ses 5 dernières décennies, elle attire ainsi les touristes par le potentiel balnéaire de Saknès. Celle-ci comporte deux unités hôtelières, un musée, un quartier marin et le port de plaisance. Il y a également la zone touristique de Jinène El Oust qui possède 6 unités résidentielles et la zone de Bekalta qui comporte 6 unités hôtelières et des lots d’animation. Par ailleurs, l’infrastructure de transport de la région est aussi l’un des facteurs déterminants dans l’essor de ce gouvernorat. En effet, il possède un aéroport international, une gare, et un métro qui le relie à Sousse et à Mahdia. Des bus, des taxis, des véhicules de louage le relient aussi à ces deux autres gouvernorats. Infrastructures de base et équipements collectifs Le branchement en électricité dans ce gouvernorat est évalué à 99,9 % en zone urbaine contre 99,8 % en zone rurale. L’accès de la population à l’eau potable en milieu urbain et rural, est quant à lui, estimé à 100 %. Le réseau de transport moderne est composé d’un aéroport, un port commercial, une gare, un métro,et des routes nationales, régionales et locales. L’aéroport international relie le gouvernorat à l’Europe et aux pays Arabes. Le secteur communication se développe aussi dans cette région avec un nombre d’abonnés fixe de 49 169 personnes. Côté équipements collectifs scolaires, elle dispose aussi d’un réseau scolaire performant avec 12 établissements d’enseignement supérieur (faculté de médecine, de science, de pharmacie, institut supérieur de l’informatique et de mathématiques,institut supérieur de biotechnologie etc.).Ce réseau est complété par 49 centres de formation professionnels publics et privés, 157 écoles primaires, 452 crèches et jardins d’enfants, et 76 lycées secondaires. Concernant la structure sanitaire, Monastir est encore avantagé par rapport aux autres gouvernorats car il possède 12 hôpitaux régionaux, 88 centres de base, une vingtaine de cliniques et une vingtaine de laboratoires d’analyses et de radiologies. 121 pharmacies complètent cet effectif. Enfin, concernant l’équipement collectif de loisirs, la région possède 4 complexes sportifs, 56 stades sportifs, 89 salles de sport privés et publiques et une piscine sportive. Emploi à Monastir Cette région est la moins touchée par le chômage comparé aux autres gouvernorats. En effet, seuls 6,1 % de la population sont au chômage selon le chiffre indiqué pour le deuxième trimestre de l’année 2017. Quoi qu’il en soit, l’Etat a décidé d’octroyer une hausse de 60 % du budget au ministère de la formation professionnelle. Cette enveloppe financière se répartira entre le gouvernorat de Monastir et les autres gouvernorats. Le salon organisé par l’ANETI du 15 novembre dernier qui a vu la participation de 80 entreprises dans le secteur industriel, a aussi pour objectif de recruter des centaines de diplômés du supérieur et des milliers d’ouvriers (6 000) dans le secteur textile et habillement.Par ailleurs, la construction de l’unité de fabrication de câbles électriques de la « PSZ » permet aussi d’offrir 3 500 emplois aux jeunes Tunisiens et aux diplômés de l’enseignement supérieur. A noter que cette société allemande possède déjà d’autres filiales à Ksar Hellal. Le groupe « Leoni Tunisie » va créer aussi 5 000 emplois pour les habitants de Sousse, Mahdia et Monastir grâce à l’aménagement d’une nouvelle unité à Manzel hayet. De leur côté, les dirigeants politiques sont plutôt optimistes avec le retour des bailleurs de fonds en l’occurrence la Banque mondiale avec l’octroi d’une enveloppe de 500 millions de dollars et le FMI avec 249,1 millions de dollars pendant cette année. Chahed a d’ailleurs assuré qu’il n’y aura pas de nouveaux impôts pour les entreprises pendant l’année 2019.   Les métiers les plus demandés à Monastir Les tendances du marché du travail à Monastir peuvent évoluer au fil du temps en fonction des besoins économiques, des avancées technologiques et d'autres facteurs. Cependant certains secteurs sont généralement porteurs dans de nombreuses régions, y compris Monastir. Ces secteurs peuvent inclure : Tourisme : Monastir étant une ville touristique en Tunisie, les emplois liés à l'industrie du tourisme, tels que les guides touristiques, les agents de voyage, les hôteliers et les restaurateurs, peuvent être en demande. Technologies de l’information et de la communication (TIC) : Avec la croissance continue de l'industrie des TIC, les professionnels de l'informatique, les développeurs de logiciels, les ingénieurs en informatique et les experts en cybersécurité sont souvent recherchés. Santé : Les professionnels de la santé, tels que les médecins, les infirmières, les pharmaciens et les techniciens médicaux, sont généralement demandés dans toutes les régions. Industrie manufacturière : Si Monastir possède des zones industrielles, les emplois dans le secteur manufacturier, tels que la production, la logistique et la maintenance industrielle, peuvent être en demande. Commerce et vente : Les emplois liés au commerce de détail, à la vente et au marketing peuvent également être recherchés, en particulier dans les zones commerciales ou touristiques. Enseignement : Les enseignants et les professionnels de l'éducation peuvent être demandés, surtout si la région connaît une croissance démographique. Il est recommandé de consulter les annonces d'emploi locales, les sites web d'agences de recrutement, les plateformes en ligne et les réseaux professionnels pour obtenir des informations actualisées sur les opportunités d'emploi à Monastir. Vous pouvez également contacter les services publics de l'emploi locaux pour des informations plus spécifiques sur le marché du travail dans la région. Plusieurs cabinets de recrutement que ce soit à Tunis ou à Monastir publient très souvent des offres d’emploi pour des postes dans des organismes à Monastir. Les avantages dont dispose la ville de Monastir par rapport aux autres villes de la Tunisie. Monastir en Tunisie, présente plusieurs avantages qui contribuent à son attractivité par rapport à d'autres villes du pays. Certains de ces avantages incluent : Tourisme : Monastir est une destination touristique populaire en raison de ses plages, de son histoire riche et de ses attractions culturelles, telles que le mausolée de Bourguiba. Le tourisme peut stimuler l'économie locale et créer des opportunités d'emploi. Infrastructure touristique développée : En raison de son attrait touristique, Monastir dispose d'une infrastructure développée, notamment des hôtels, des restaurants et des installations de loisirs, ce qui renforce l'économie locale. Education : Monastir abrite des institutions éducatives renommées, dont l'Université de Monastir. La présence d'institutions éducatives peut attirer des étudiants et contribuer au développement intellectuel et économique de la région. Zone industrielle : La présence d'une zone industrielle peut favoriser le développement économique en offrant des opportunités d'emploi dans le secteur manufacturier et en attirant des investissements. Emplacement géographique : Située sur la côte est de la Tunisie, Monastir bénéficie d'une position géographique favorable, facilitant les échanges commerciaux et les activités portuaires. Climat : Monastir bénéficie d'un climat méditerranéen agréable, avec des hivers doux et des étés chauds, ce qui peut contribuer à son attrait en tant que destination de vie. Héritage culturel : Monastir possède un riche patrimoine culturel, avec des monuments historiques et des sites archéologiques. Cela peut attirer les amateurs d'histoire et de culture. Aéroport international : La présence d'un aéroport international, l'aéroport international de Monastir-Habib Bourguiba, facilite les déplacements et renforce la connectivité de la ville avec d'autres régions et pays. Il est important de noter que la perception des avantages peut varier en fonction des besoins individuels, des industries spécifiques et des priorités. Monastir semble cependant tirer profit de sa combinaison d'attraits touristiques, d'infrastructures et de position géographique pour se positionner favorablement par rapport à d'autres villes en Tunisie. Les agences de communication sont appelé à réaliser un portail web mettant en avant les points forts et les avantages dont dispose la ville de Monastir par rapport aux autres villes tunisiennes afin de promouvoir les produits et services disponibles. 
Découpage administratif de l’Ariana Economie et potentialités Infrastructures de base et équipements collectifs d’Ariana Emploi dans ce gouvernorat Les métiers possibles à l'Ariana La possibilité dans le monde du travail, de collaborer avec les villes voisines de l'Ariana Ce gouvernorat est situé au nord-est de la Tunisie, proche de Tunis. Il est entouré par Bizerte au nord, Tunis au sud, Manouba à l’ouest et la mer Méditerranéenne à l’est. Son emplacement lui a fait devenir un pôle économique varié offrant plusieurs opportunités d’emplois et d’investissement. La région s’étendant sur une superficie de 456 km2 occupe 0,3 % de la totalité de la superficie du pays. Tour d’horizon sur les richesses et potentialités, les infrastructures de base et les possibilités d’emplois dans ce gouvernorat. Découpage administratif de l’Ariana La création de ce gouvernorat date de 1983. Il est découpé en 7 délégations, 6 communes et 46 imadas. Ces délégations sont réparties en Ariana ville, Soukra, Raoued, Ettadhamen, Kalâat-el-Andalous, Mnihla et Sidi Thabet. Kalâat-el-Andalous est la plus vaste mais la moins peuplée avec une population de 23 000 personnes sur une superficie de 18359 ha contre Ariana ville, peuplée par 97 687 habitants en 2004 sur une superficie de 1885 ha (la plus petite des délégations). Le poids de la population par rapport au Grand Tunis est de 20 % avec une forte représentation de population communale (90 % des habitants). La région possède un climat méditerranéen avec des hivers doux et humides et des étés chauds. Les températures s’échelonnent entre 6°C et 45°C avec une pluviométrique de 450 mm par an. La région était une station de plaisance des riches dans les deux derniers siècles. Sur le plan économique, il possède un tissu économique varié composé des zones industrielles et d’une vaste superficie dédiée à l’agriculture.A noter qu’Ariana est jumelée avec la ville de Salé au Maroc, Grasses et Auvergne en France. Economie et potentialités Le secteur industriel constitue les principaux fournisseurs d’emplois dans cette région. Il s’agit notamment des industries dans le domaine du textile, de l’habillement, de l’agroalimentaire qui fournit 50 % de l’activité économique du gouvernorat. Des sociétés de services dans le domaine de TIC, de fabrication de cuir, de chaussures, de l’électronique constituent aussi des possibilités d’investissement. La région compte plus de 270 unités industrielles réparties dans les zones industrielles d’Ariana aéroport, Sidi Thabet, KalaatLandalous, Choutrana, M’nhila, El Bokri, Jaafar-Raoued. La présence des industries dans les secteurs textile, habillement et électrique a pour effet d’augmenter les exportations de ce gouvernorat. L’agriculture occupe la deuxième occupation des habitants. La superficie agricole est occupée par les céréales, les cultures de légumes, les fourrages, l’arboriculture et les cultures industrielles.Les terres cultivables occupent 24 000 ha, soit 70 % de la superficie de la région. La production agricole est dominée par les cultures maraichères, puis les cultures céréalières et les cultures des arbres (agrumes, pommes, poires…). 137 ha sont aussi réservés à la culture biologique avec les arbres fruitiers, fourragers, l’orge, le blé, l’artichaut… Le gouvernorat se fait aussi une réputation dans la production des roses dans le parc BirBelhassen. Concernant la production animale de cette région, les délégations de SiditThabet et Kalâat-el-Andalous sont les plus grandes productrices. Le nombre de cheptel en tête environne 57 800 en 2014 (bovin, ovin, caprin). Les habitants font également de petit élevage avec les volailles, les lapins, les abeilles. Les produits agricoles de viande pour l’année 2014 est 4 270 tonnes par an, contre 2 750 tonnes par an pour les volailles. La production de la pêche, quant à elle, atteint 167 tonnes par an. Ces chiffres permettent de révéler un développement notable dans l’investissement des secteurs agricultures et pêche de ce gouvernorat. Le développement de l’agriculture est favorisé par la présence d’une douzaine de lacs collinaires. Les ressources en eau se trouvent dans le bassin de la vallée de la Mejerda, et la nappe de la Soukra.Parmi les principaux projets agricoles de cette région, on peut citer à titre d’exemple la pépinière forestière à Sidi Thabet, le port de pêche de Kâlaat-el-Andalous, le musée national de chasse à Jbel Ammar. Pour l’année 2016, la délégation d’Ariana aquant à elle, entreprise des projets d’infrastructure routière et d’installation de réseaux d’eau de la ville et de créations d’espaces verts. Infrastructures de base et équipements collectifs d’Ariana Dans ce gouvernorat, le branchement en électricité dans la zone urbaine atteint 100 % contre 98,9 % en zone rurale. Le taux d’assainissement en eau potable dans la zone urbaine est également estimé à 100 % contre 99,5 % en zone rurale. Par ailleurs, cette région est facilement accessible grâce à la répartition des infrastructures routières avec les routes nationales, régionales, locales et les autoroutes. Cette région est également dotée de deux ports dont celui de Kâlaat-el-Andalous et de Raoued. D’ailleurs, la production de pêche fournit des centaines de postes d’emploi. Ces dernières années, le secteur de la télécommunication a connu aussi une croissance fulgurante dans cette région et dans tout le pays. Le renforcement de l’infrastructure de la télécommunication a permis d’avoir un nombre d’abonnés de plus 72 800 dans ce gouvernorat. La densité téléphonique a passé de 14,88 % en 2014. L’évolution de la télécommunication a permis également d’augmenter le nombre d’abonnés aux utilisateurs d’internet. Concernant les équipements collectifs de l’enseignement, ce gouvernorat possède 87 écoles primaires, 247 crèches et clubs d’enfants, une cinquantaine de lycées et collèges secondaires ainsi qu’une dizaine d’institutions supérieures. On y retrouve également la technopole d’Elghazala qui a été fondé en 1992 et la technopole de Sidi Thabet. La première regroupe 16 entreprises et 4 établissements publics avec un effectif de plus de 600 ingénieurs. Quant à la technopole de Sidi Thabet, elle comporte des institutions nationales et des centres de recherche et des organismes de formation. Une quarantaine de centres privés de formation professionnelle complètent cet effectif d’infrastructure d’enseignement. Côté structure sanitaire, Ariana compte 3 hôpitaux dont 1 régional, 1 local, et 1 CHU, 24 centres de santé de base, 48 laboratoires d’analyses. Ce gouvernorat dispose aussi une centaine de pharmacies et 3 cliniques. Enfin, concernant l’équipement de culture et de loisirs, la région compte 10 bibliothèques, 3 salles de théâtre, 2 maisons de culture, 1 complexe sportif et 16 stades sportifs et salles de sport couvertes. Emploi dans ce gouvernorat Malgré le frein à la création de projets en Tunisie dus aux formalités administratives et la difficulté d’obtention de financement, Ariana fait partie des gouvernorats ayant le meilleur taux d’occupation. Le secteur tertiaire occupe plus de 60 % de l’emploi contre 5 % environ pour le secteur primaire. Ce qui fait que le taux de chômeurs de cette région est inférieur à la moyenne nationale avec un taux de chômage de 13 % environ. Ce gouvernorat possède d’ailleurs un espace visant à favoriser l’employabilité des jeunes ayant des projets. Le gouvernement a d’ailleurs offert une douzaine de millions de dinars pour le financement de projets de près de 2 000 porteurs de projets. Le secteur agricole se voit aussi octroyer une enveloppe de 2,5 millions de dinarsdont la plus grande part s’en va dans les industries de transformation de produits agricoles et dans les activités agricoles (98%).Ces investissements visent essentiellement à promouvoir l’exportation et les industries de transformation. Enfin, l’aménagement du secteur routier a permis aussi de fournir des emplois à quelques jeunes malgré le fait que les offres ne comblent pas les nombreuses demandes d’emploi.   Les métiers possibles à l’Ariana En fonction de la région à laquelle vous faites référence, les opportunités d'emploi peuvent varier. Voici quelques métiers qui pourraient être disponibles dans cette région, en particulier dans le contexte tunisien : Fonction publique : travailler dans l'administration publique locale, régionale ou nationale. Enseignement : Enseigner dans les écoles primaires, secondaires ou les établissements d'enseignement supérieur de la région. Santé : Travailler dans le secteur de la santé en tant que médecin, infirmier, pharmacien, etc. Technologie de l’information : Les métiers liés à l'informatique, au développement logiciel, à la gestion de réseaux, etc., sont généralement en demande. Tourisme : Travailler dans l'industrie touristique, que ce soit dans les hôtels, les agences de voyages ou d'autres services connexes. Commerce et services : Possibilités dans le secteur du commerce, de la restauration, de l'hôtellerie, etc. Industrie : Des opportunités peuvent exister dans divers secteurs industriels tels que la fabrication, la production, etc. Finance : travailler dans les institutions financières locales. Culture et arts : Possibilités dans le domaine culturel, musées, centres artistiques, etc. Agriculture : Travailler dans l'agriculture ou l'agroalimentaire, en fonction de la structure économique de la région. Il est important de noter que la disponibilité des emplois peut dépendre de divers facteurs, notamment l'économie locale, les industries présentes dans la région, et les compétences et qualifications individuelles. Avant de chercher un emploi, il peut être utile de faire des recherches sur le marché du travail local et de déterminer quelles industries sont en croissance. Plusieurs cabinets de recrutements sont implantés à l’Ariana.   La possibilité dans le monde du travail, de collaborer avec les villes voisines de l'Ariana La collaboration entre la ville de l'Ariana et ses villes voisines peut offrir diverses opportunités dans le monde du travail. Cette collaboration peut se faire à plusieurs niveaux, notamment dans les domaines économique, éducatif, culturel et social. Voici quelques façons dont la collaboration avec les villes voisines peut influencer les opportunités professionnelles : Echanges commerciaux : Les entreprises de l'Ariana peuvent explorer des opportunités de collaboration commerciale avec des entreprises des villes voisines. Cela peut inclure des partenariats commerciaux, des chaînes d'approvisionnement intégrées et des opportunités d'exportation. Réseautage professionnel : Les professionnels de l'Ariana peuvent élargir leur réseau en collaborant avec des professionnels des villes voisines. Les événements de réseautage, les conférences et les forums régionaux peuvent faciliter ces opportunités. Projets de développement communautaire : Les municipalités voisines peuvent collaborer sur des projets de développement communautaire, offrant ainsi des opportunités d'emploi dans des domaines tels que l'aménagement du territoire, l'urbanisme, l'environnement, etc. Education et formation : Les institutions éducatives de l'Ariana peuvent collaborer avec des établissements voisins pour développer des programmes éducatifs conjoints, des échanges d'étudiants et des initiatives de formation professionnelle. Tourisme : Une collaboration dans le secteur du tourisme peut créer des emplois dans les domaines de la promotion touristique, de la gestion d'événements régionaux et du développement de l'industrie touristique. Cultural Exchange : Les collaborations culturelles peuvent donner lieu à des opportunités dans le domaine des arts, de la culture et du divertissement. Cela pourrait inclure des événements culturels conjoints, des festivals, des expositions, etc. Transport et logistique : Les entreprises de transport et de logistique peuvent bénéficier de collaborations régionales, créant ainsi des opportunités pour les emplois dans ces secteurs. Santé publique : La collaboration entre les municipalités peut également se traduire par des initiatives de santé publique conjointes, créant des emplois dans les domaines de la santé, de la recherche médicale, etc. Technologies de l’information et de la communication (TIC) : Les entreprises technologiques de l'Ariana peuvent collaborer avec des entreprises des villes voisines pour développer des solutions innovantes, créant ainsi des emplois dans le secteur des TIC. Coopération transfrontalière : Si l'Ariana est proche d'une frontière internationale, il peut y avoir des opportunités de coopération transfrontalière, ouvrant la voie à des opportunités professionnelles internationales. La collaboration entre les municipalités voisines peut renforcer l'économie régionale et créer un environnement propice à la croissance économique et à de nouvelles opportunités professionnelles. Sur plusieurs villes voisines, il est possible de lancer un concours secteur public en Tunisie afin de satisfaire une entreprise nationale en terme de recrutement de certains profils qualifiés et résidents dans les villes là où il y a un besoin pour des agences de cette entreprise nationale pour des postes de travail et à proximité de leurs domiciles.
Les caractéristiques économiques et le tourisme du gouvernorat de Sousse Les potentialités du gouvernorat de Sousse Les secteurs d’activités les plus développés dans le gouvernorat de Sousse L’exportation des produits et des services du gouvernorat de Sousse Conclusion Ce gouvernorat est situé sur la rive de la Méditerranée à l’est de la Tunisie. Il est délimité par les gouvernorats de Nabeul, de Zagouan, de Madhia et de Kairouan. Sa localisation près de la mer lui permet d’avoir  un climat plutôt agréable  pendant les périodes de l’année, même si en été la température peut frôler 38 °C. La ville est accessible à moins de deux heures de Tunis. Cette  troisième ville du pays  est réputée pour son oliveraie qui s’étend sur centaines de mille d’hectares, le port dans le centre-ville, la médina, mais aussi ses stations balnéaires. Tour d’horizon sur l’économie et les chiffres clés de ce gouvernorat. Les caractéristiques économiques et le tourisme du gouvernorat de Sousse. Ce gouvernorat s’étend sur une superficie de quelque 2600 km2, soit 1,6 % de la totalité de l’étendue du pays. En 2014, il enregistre un chiffre de population de 374 900 environ. Il est réparti en 15 délégations et 16 municipalités. Depuis le mois de mai 2017, c’est le gouverneur Adel Chlioui qui est à la tête du gouvernorat. Le pôle industriel de la région compte plus de 520 entreprises qui donnent des emplois à plus de 44 000 salariés. Presque la moitié de ces entreprises sont axées sur  l’exportation . Elles exploitent notamment  le   textile  et  l’habillement,   l’agriculture  et  la pêche , ainsi que  les industries mécaniques et électriques . C’est l’industrie de manufacture et de service qui accapare le plus de population avec respectivement 31,7 % et 32,6 %. Le taux de la population qui travaille dans l’administration tourne autour de 13,9 %. Le gouvernorat possède  huit zones industrielles  dont Sousse-Sidi Abdelhamid I et II, Kalaâ Kebira I et II, Enfida I et II, Kondar et Bouchifa. Il y a également Sidi El Hani. Concernant l’agriculture, c’est surtout la culture d’oliviers qui domine la superficie. La superficie des terres cultivées est 220 000 ha. Parmi les majeurs produits agricoles du gouvernorat, citons les légumes et les céréales, l’huile d’olive, le lait, la volaille, la viande et la pêche. Le secteur touristique  est aussi le  principal atout  du gouvernorat de Sousse malgré la difficulté qu’elle a rencontrée depuis l’attaque sur la plage d’El Kantoui en 2015. Cette attaque qui a causé le décès de 38 personnes avait conduit à l’effondrement de bon nombre de marchés. Seuls les marchés russes ont survécu mais les acteurs prétendaient encore souffrir de manque de visibilité pour la période de vacances de l’année. Le gouvernorat possède  115 hôtels  qui disposent 40 000 lits. Ces infrastructures se trouvent à Sousse nord et sud, à Medina et à Jawhara. Les nouvelles zones de Hergla et Bouficha possèdent aussi 20 000 lits. Parmi les sites touristiques qu’on peut visiter dans la région, mentionnons entre autres La Médina, le Ribat, la kobba, la Kasbah, la grande mosquée, les catacombes ou encore le musée archéologique de Sousse. Les catacombes sont situées à l’ouest de la ville. Elles sont composées d’un labyrinthe de plus de 200 galeries souterraines qui s’étend sur 5 km et contient 15 000 sépultures. Quant à la Kasbah qui a été fondée en l’an 844, elle est localisée dans la partie haute de la Médina. Elle est visitée par son phare d’une hauteur de 30 m et par le musée archéologique de Sousse dans ses murs. La Médina, quant à elle, est entourée de remparts aux tours carrés. Parmi les festivals proposés dans la ville, on retrouve entre autres le carnaval d’Aoussou pendant le mois de juillet, le festival international de Sousse pendant le mois de juillet et août, le festival de la Médina en octobre ou encore les journées européennes du cinéma en novembre. Sousse possède en outre 9 maisons de culture, 24 bibliothèques pour le public, 4 théâtres en plein air à Akouda, Kalaâ Kébira, Sidi Dhaher et M’saken et 2 musées Les potentialités du gouvernorat de Sousse. Entre l’année 2004 à 2013, Sousse enregistre un taux annuel de 2,7 % d’augmentation de population. Comme Sfax qui est la deuxième ville du pays,  son taux de chômage est plus faible  comparé à l’ensemble de la Tunisie. Les chiffres indiquent 11,5 % contre 15% environ pour le pays. En plus, le taux de la population active de plus de 15 ans est 50%. Le gouvernorat est découpé en 8 conseils ruraux et 104 imadats. Le taux d’obtention d’électricité de ce gouvernorat situé à 114 km de Tunis est 99,8 % tandis que 96 % de la région sont desservis par l’eau potable. Les réseaux assainis constituent 92 %. Comparé à Sfax, le gouvernorat dispose de plus d’accès aux médecins car ce professionnel de santé prend en charge un habitant sur 577 contre 950 pour Sfax. Par ailleurs, 100 habitants disposent 127,5 de lignes téléphoniques mobiles ou fixes. Concernant le nombre des  établissements scolaires  de l’année 2015, on compte 180 institutions d’enseignement de base premier cycle en Sousse, et 38 enseignements de base du deuxième cycle secondaire. Les écoles d’enseignement privé (premier cycle de base et deuxième cycle secondaire) sont au nombre de 37. Quant aux institutions d’enseignement supérieur, on en retrouve 18 dans le gouvernorat. Les écoles de formation offrent des formations sur l’agriculture, le tourisme et l’union nationale de femmes. Le taux de scolarisation des habitants de Sousse âgés entre 4 à 12 ans est de 98 % et pour la tranche d’âge de 13 à 20 ans, le taux est de 84 %. Pour  les infrastructures de la santé , Sousse dispose de 2 établissements de santé publics, 1 hôpital régional et 7 hôpitaux de circonscription à Bouficha, Kébira etc. Il possède également un groupement de santé de base et un centre intermédiaire de santé. Les centres de santé de base de la région sont au nombre de 99 tandis que les cliniques privés sont au nombre de 7. Le gouvernorat possède en outre plus de  80 salles de sport privés ,  9 salles de sport publics  et 1 8 maisons de jeunes . Ainsi,  le centre d’affaires de Sousse  accompagne les jeunes dans la création de leurs projets dans le secteur de services, d’industrie ou de petits métiers. Ce qui réduit le taux de chômage et offre de nouveaux postes d’emploi. Parmi les offres d’emplois disponibles pour les sortants universitaires dans la région, citons notamment les fonctions dans  les métiers de TIC ou de services  comme téléconseillers, développeur web, agent commercial, assistant comptable, négociateur immobilier etc. Pour en revenir aux chiffres de produits agricoles de Sousse, sa superficie agricole qu’on peut labourer de 158 000 ha environ est répartie culture d’olives (78 000 ha) et une partie de  culture biologique . La ville abrite  deux ports de pêche  dont Sousse et Hergla. On dénombre environ 320 armada de pêche en Sousse. Ce sont des chalutiers, des barques et des chaloupes utilisées pour la pêche de la sardine. La ville possède deux unités de productions de thon. Hergla abrite également un projet d’aquaculture. Le gouvernerat a entrepris un jumelage avec Liège en Belgique, Veneto, Toscane et Pouilles en Italie, Alpes Maritime, Saint Petersbourg en Russie et Hadrumette à Yemen.   Les secteurs d’activités les plus développés dans le gouvernorat de Sousse Le gouvernorat de Sousse, en Tunisie, est connu pour sa diversification économique et ses différents secteurs d'activités développés. Voici quelques-uns des secteurs les plus importants et les plus développés dans la région. Le tourisme : Sousse est une destination touristique majeure en Tunisie, connue pour ses plages, son patrimoine culturel et historique, ainsi que ses stations balnéaires. Le tourisme joue un rôle essentiel dans l'économie de la région, avec de nombreux hôtels, complexes touristiques, restaurants et services connexes. L’industrie manufacturière : Sousse abrite plusieurs zones industrielles et parcs technologiques où sont implantées de nombreuses entreprises manufacturières. Les industries textiles, les industries agroalimentaires, l'industrie chimique, la fabrication de produits électroniques et électriques, ainsi que l'assemblage de pièces automobiles sont quelques-uns des domaines importants de l'industrie dans la région. Les technologies de l'information et de la communication (TIC) : Sousse est également considérée comme un hub technologique en Tunisie. La ville abrite de nombreuses entreprises et start-ups dans le domaine des TIC, notamment le développement de logiciels, l'outsourcing informatique, les services de télécommunications et les solutions numériques. L’agriculture : Bien que Sousse soit principalement une zone urbaine, l'agriculture joue un rôle important dans l'économie de la région. Les terres agricoles environnantes sont utilisées pour la culture d'oliviers, de céréales, d'agrumes et de légumes. La pêche est également une activité économique significative, avec un port de pêche actif à Sousse. L’artisanat : Sousse est réputée pour son artisanat traditionnel, notamment la poterie, la vannerie, la fabrication de tapis, la maroquinerie et la bijouterie. Ces métiers traditionnels sont préservés et contribuent à l'activité économique locale, notamment à travers les souks et les marchés d'artisanat. La région bénéficie également d'une infrastructure solide, de zones franches et d'investissements dans divers secteurs, ce qui contribue à son développement économique. Le gouvernorat de Sousse dispose d’un avantage compétitif concurrentiel par rapport à d’autres villes mondiales en offrant des produits et des services de très bonnes qualités en assurant ainsi un très bon rapport qualité/prix. Ces produits et ces services méritent donc d’être mis en avant sur des portails web qui font la promotion de la Tunisie. Il est aussi important de collaborer avec les chambres de commerce et d’industrie dans ce sens.   L’exportation des produits et des services du gouvernorat de Sousse Le gouvernorat de Sousse en Tunisie est connu pour son rôle actif dans l'exportation de produits et de services. Voici quelques exemples des produits et des services exportés depuis la région : Produits textiles et habillement : Le secteur textile est l'un des principaux contributeurs à l'exportation de produits manufacturés à partir de Sousse. Les usines de textile de la région produisent une variété de vêtements, tels que des vêtements prêts-à-porter, des vêtements de sport, des vêtements de travail, ainsi que des tissus et des articles de lingerie. Produits alimentaires et agroalimentaires : Le gouvernorat de Sousse est réputé pour ses produits alimentaires de qualité. Des entreprises de la région exportent des produits tels que les conserves de poissons, les huiles d'olive, les dattes, les produits laitiers, les pâtisseries et les confiseries tunisiennes vers différents marchés internationaux. Equipements électroniques et électriques : Sousse abrite des entreprises spécialisées dans la fabrication d'équipements électroniques et électriques, notamment les appareils électroménagers, les composants électroniques, les câbles et les fils électriques. Certains de ces produits sont exportés vers d'autres pays. Services informatiques et de télécommunications : Le secteur des technologies de l'information et de la communication (TIC) à Sousse offre des services informatiques, tels que le développement de logiciels, la programmation, la gestion de projets informatiques, ainsi que des services de centre d'appels et d'outsourcing. Ces services sont exportés vers des entreprises étrangères. Services de tourisme et d'hôtellerie : Le gouvernorat de Sousse est une destination touristique populaire, et les services liés au tourisme, tels que les hôtels, les agences de voyages, les services de restauration, les spas et les loisirs, sont également exportés dans une certaine mesure. Cela inclut l'accueil de touristes étrangers et la fourniture de services touristiques aux visiteurs internationaux. Il est important de noter que la nature et l'étendue des exportations peuvent varier en fonction des tendances économiques mondiales, des politiques commerciales et des opportunités d'affaires spécifiques. Les entreprises de Sousse peuvent exporter vers différents pays, principalement en Europe, mais aussi vers d'autres régions du monde. Les hommes et les femmes d’affaires qui sont dans le commerce international devront développer des sites web performants afin de bien commercialiser les produits du gouvernorat de Sousse à travers des plateformes performantes pour cela ces derniers devront faire recours à des entreprises IT pour leurs réaliser des sites web dynamiques.  En conclusion. Le gouvernorat de Sousse se démarque par le taux de sa population active et son taux de chômage moins élevé comparé au reste du pays. Malgré cela, on constate une migration interne et externe vers les autres 23 gouvernorats ou dans les pays voisins dans cette région.   Toutes nos offres d'emploi à Sousse
Histoire et économie de SFAX Les principaux atouts de Sfax et les problèmes de son économie. Les secteurs d’activités les plus développés à Sfax Le développement du commerce à Sfax durant les dernières décennies   Le gouvernorat de SFAX crée en 1956 est le deuxième gouvernorat de la Tunisie. Il est divisé en 16 délégations et 17 municipalités. La position géographique avantageuse de ce gouvernorat qui abrite quelques 1 million d’habitants lui permet de tenir un rôle important dans les échanges internationaux et nationaux. Son atout majeur est son port qui permet l’exportation de millions de tonnes de produits du pays tels que l’huile d’olive ou le sel marin. Ce port permet également l’importation des millions de tonnes de produits alimentaires, chimiques. L’agriculture, la pêche, les industries de manufacture sont les 3 secteurs qui offrent du travail à la population active. Histoire et économie de SFAX. Cette ville tunisienne était baptisée autrefois Syphax puis Taparura au temps des Romains. Les remparts qui entourent la Médina gardent encore jusqu’à maintenant deux portes datant du 9e siècle : Bab Diwan et Bab Jebli. Sfax était sous l’emprise du prince normand Roger de Sicile avant sa réintégration à l’empire musulman au 12ème siècle. Son histoire relate également la révolte du 1881 à cause du refus de protectorat français. Les deux grands militants du pays Farhat Hached et Hédi Chaker sont originaires de cette région. La densité de sa démographie est de 116 habitants par km2 environ. Comparé aux 23 autres gouvernorats tunisiens, Sfax se fait une réputation avec sa production d’huile d’olive, de produits de pêche et de pétrole. L’agriculture et la pêche occupent environ 27 % de la population active, les services 45 % tandis que l’industrie manufacturière détient 24 % environ des secteurs d’exploitation. Sfax est devenue prospère grâce à sa production d’huile d’olive, son exploitation de pêche et de phosphates. C’est la plus importante région de culture et de production d’huile d’olive dans tout le pays. Mais depuis les 6 dernières décennies, de petits et moyens établissements manufacturiers sont apparus. En même temps, on assiste à un développement du secteur tertiaire. Les terres qu’on peut cultiver occupent la majeure partie des surfaces de la région. Elles constituent 639 000 ha. Les forêts constituent le cinquième de la surface cultivable. La production en huile d’olive du gouvernorat s’élève à 40% de la production tunisienne . Tandis que sa production des amandes tourne dans les 30 %. Ce qui lui vaut le rang du premier producteur du pays . Le gouvernorat exporte essentiellement : les amandes, l’huile d’olive, les textiles, le gaz naturel et le pétrole, les produits de pêche. En baladant dans les dédales de cette ville sise à quelque 372 km au sud-est de Tunis, on retrouve une pléthore d‘ateliers de confection de jeans, de vêtements féminins qui seront ensuite vendus en France, en Italie ou en Espagne. L’économie de Sfax est également axé sur l ’exploitation du pétrole et ce depuis longtemps. A titre d’exemple, le gouvernorat a produit 1,18 millions tonnes de pétrole dans l’année 2006. Ces produits sont exportés dans le port de Skhira. Le gisement de Miskar permet cette capacité d’exploitation. Il couvre une superficie de quelque 350 km2. Le développement de l’économie et de la ville s’accélère grâce à la construction d’un port moderne, des voies ferrées ainsi que des routes qui permettent de relier le gouvernorat à d’autres régions du nord et du sud. L’essor économique et démographique de Sfax commence en fait depuis l’indépendance en 1956. On doit cette croissance à la stabilité politique du pays même s’il y a des crises politiques d’ici-là. Ce gouvernorat figure ainsi en premier place de la Tunisie en production d’huile, des produits de pêche. Et il occupe la deuxième place en production d’énergie, de pétrole et de gaz dans tout le pays. Le dynamisme de ce deuxième secteur économique est dû à l’ouverture de la région sur la Méditerranée. Les principaux atouts de Sfax et les problèmes de son économie. La situation géographique au centre du pays, sur la côte de la Méditerranée favorise le développement du secteur maritime de Sfax. L’aménagement de son port moderne construit dans le 19e siècle, son emplacement géographique limité par le gouvernorat de Mahdia et par Kairouan ainsi que le golfe de Gafsa constituent des éléments influents au dynamisme de ce gouvernorat. Ce développement ne concerne pas uniquement l’économie, il s’étend également sur l’éducation , les équipements collectifs sanitaires et le tourisme . On dénombre actuellement une trentaine d’établissements supérieurs, des centres de formations pluridisciplinaires et deux pépinières d’entreprises dans la région. Ces derniers visent à promouvoir l’esprit d’entrepreneuriat des diplômés et sortants universitaires. Citons entre autres parmi les écoles supérieures et faculté de Sfax la faculté de science de Sfax, l’Ecole nationale des ingénieurs, la faculté des sciences et lettres humaines, la faculté de droit, la faculté de médecine, l’institut supérieur d’administration des affaires, l’Institut supérieur d’informatique et de multimédia, l’institut supérieur de biotechnologie, l’institut supérieur de musique, l’institut de l’olivier etc. Les équipements collectifs comme les cliniques, et les hôpitaux ne sont pas en reste. On y retrouve 13 hôpitaux et cliniques, un centre de maternité, 32 laboratoires d’analyses . Mais on déplore quand même le manque de médecin car un médecin s’occupe 950 habitants de la région. Côté tourisme, le gouvernorat est doté d’un potentiel touristique intéressant avec ses remparts au bord de la mer, ses nombreux sites archéologiques comme Taparura, Borj Younga ainsi que les îles de Kerkenah. La ville est d’ailleurs jumelée avec Dakar, Grenoble et Marburg. Sfax possède en outre 35 hôtels, une cinquantaine de stades sportifs, une cinquantaine de clubs sportifs. Mais l’industrie manufacturière figure également parmi les atouts importants de la région. Ce pôle industriel est composé de 2500 petites et moyennes entreprises . Celles-ci sont axées dans des activités d’exportation. Concernant l’industrie de confection par exemple, la région aurait à affronter les concurrents bulgares et roumains qui proposent de coût de production très abordables. L’avantage de ces pays, c’est qu’ils se trouvent en Europe, ce qui réduit ainsi les frais de transport et de livraison. Mais ce problème ne nuit que très peu à la santé de l’industrie manufacturière qui détient plus du tiers du pays. La création de l’institut supérieur de biotechnologie de Sfax est également un pas non négligeable dans la maîtrise de cette technologie. Et cela à cause de son importance dans l’agriculture et la santé. Ce centre permet de former les étudiants dans ce domaine devenu de plus en plus vital dans l’essor de la région. Parmi les atouts sfaxien, on ne doit pas aussi oublier son infrastructure routière si elle n’est pas encore performante. La ville dispose d’un réseau routier et aérien moderne . Son aéroport international assure des vols réguliers vers la capitale de Tunisie et vers Paris. Le réseau de chemin de fer , le réseau routier qui relie Sfax à toutes les grandes villes du pays, l’autoroute qui relie Sfax à Tunis contribuent ensemble au développement de ce gouvernorat. Le réseau de télécommunication n’est pas aussi en reste car il couvre désormais l’ensemble du territoire. Malgré ces points positifs, la compétitivité de la région commence à être en perte de vitesse. Son faible taux de chômage a tendance à monter . Le coût d’investissement dans le secteur d’industries chimiques et de mines enregistre aussi un potentiel de hausse faible. Il en est de même pour l’agriculture et la pêche. Le seul secteur en forte croissance est le secteur de services et les nouvelles technologies. Les secteurs d’activités les plus développés à Sfax La ville de Sfax, en Tunisie, est un important pôle économique et industriel du pays. Voici quelques-uns des secteurs d'activités les plus développés à Sfax : L’industrie pétrolière et gazière : Sfax abrite la plus grande raffinerie de pétrole en Tunisie, la raffinerie de Sfax. Cette industrie joue un rôle crucial dans l'économie de la région, avec le raffinage du pétrole brut et la production de produits pétroliers raffinés tels que l'essence, le diesel, le kérosène, et le mazout. L’industrie chimique : Sfax est également un centre important pour l'industrie chimique en Tunisie. La région compte plusieurs complexes chimiques qui produisent des produits chimiques divers, tels que les engrais, les produits pharmaceutiques, les plastiques, les peintures, les résines, et les produits chimiques de spécialité. L’industrie agroalimentaire : Sfax est réputée pour son secteur agroalimentaire dynamique. La région est spécialisée dans la transformation des produits agricoles, notamment les huiles d'olive, les conserves de poissons, les produits laitiers, les produits céréaliers, les produits de confiserie et les produits de boulangerie. L’industrie du textile et de l'habillement : Sfax est également un centre important pour l'industrie textile en Tunisie. La région abrite de nombreuses usines de textiles et d'habillement, spécialisées dans la production de vêtements, de tissus, de linge de maison et d'autres produits textiles. Les services et les technologies de l'information : Sfax est devenue un hub technologique en Tunisie, avec un secteur des technologies de l'information et des communications (TIC) en pleine croissance. La ville abrite des entreprises de développement de logiciels, des centres d'appels, des entreprises de services informatiques, ainsi que des entreprises de services financiers et de consulting. Le commerce et la logistique : En tant que port important, Sfax joue un rôle clé dans le commerce et la logistique. Le port de Sfax facilite les échanges commerciaux et les importations et exportations de divers produits. La ville est également un centre de négoce pour les produits agricoles, les produits pétroliers et d'autres marchandises. Ces secteurs d'activités sont parmi les plus développés à Sfax, mais il convient de noter que la ville a une économie diversifiée avec d'autres industries et services également présents. Il est donc très intéressant de réaliser un portail web permettant de mettre en avant tous les produits et les services qui présentent un avantage compétitif par rapport aux autres villes qui offrent les mêmes produits et les mêmes services. Il faudra donc faire recours à une très bonne agence de communication apte à réaliser une belle vitrine web.   Le développement du commerce à Sfax durant les dernières décennies Au cours des deux dernières décennies, la ville de Sfax a connu un développement significatif dans le domaine du commerce. Voici quelques éléments clés qui illustrent cette évolution : Développement des zones franches et des parcs industriels : Sfax a établi des zones franches et des parcs industriels pour attirer les investissements étrangers et promouvoir le commerce. Ces zones offrent des avantages tels que des incitations fiscales, une main-d'œuvre qualifiée et des infrastructures modernes, ce qui a attiré de nombreuses entreprises locales et étrangères. Promotion du commerce international : Sfax est un port maritime stratégique en Tunisie, ce qui a favorisé le développement du commerce international dans la région. Le port de Sfax a été modernisé pour faciliter les échanges commerciaux avec d'autres pays, stimulant ainsi l'importation et l'exportation de marchandises. Expansion du commerce électronique : Le commerce électronique a connu une croissance significative à Sfax, avec la prolifération de sites de commerce en ligne et de plateformes de vente. Les entreprises locales ont adopté des modèles commerciaux en ligne pour atteindre un public plus large, tant au niveau national qu'international. Promotion du tourisme d'affaires : Sfax a cherché à promouvoir le tourisme d'affaires en développant des infrastructures adaptées, telles que des hôtels et des centres de conférences. Cela a permis d'attirer des événements internationaux, des foires commerciales et des rencontres professionnelles, renforçant ainsi les activités commerciales dans la région. Modernisation de l'infrastructure commerciale : Sfax a investi dans la modernisation de son infrastructure commerciale, notamment la construction de centres commerciaux, de zones franches et de parcs industriels. Ces installations modernes ont favorisé la croissance et la diversification du commerce dans la région. Emergence de nouveaux secteurs commerciaux : Outre les industries traditionnelles telles que l'industrie agroalimentaire et l'industrie textile, de nouveaux secteurs commerciaux se sont développés à Sfax. Parmi ceux-ci figurent les technologies de l'information et de la communication (TIC), les services financiers, le commerce électronique, le tourisme et l'hôtellerie. Ces développements ont contribué à renforcer le secteur commercial à Sfax au cours des dernières décennies, stimulant la croissance économique et créant des opportunités d'emploi. Il est judicieux pour les Startups donc c’est de réaliser des sites web e-commerce qui permettront de commercialiser les produits pour cela il faudra faire recours à des entreprises IT pour les développer. Toutes nos offres d'emploi à Sfax
Présentation du Nabeul Les potentialités de la région Les unités industrielles et les infrastructures de la région Les offres d’emploi possibles dans la région de Nabeul Les produits et les services de Nabeul à pouvoir exporter à l'étranger     Ce gouvernorat baptisé par le Cap bon se trouve au nord-est de la Tunisie. La mer Méditerranéenne l’entoure de son côté nord et est. La région se fait un nom par la beauté de son paysage, les richesses de ses agricultures, de son pôle touristique et industriel. Il est d’ailleurs la première station balnéaire de la Tunisie à cause de son emplacement géographique. Zoom sur les potentialités de cette région et ses chiffres clés. Présentation du Nabeul Ce gouvernorat dont le chef-lieu est Nabeul s’étend sur une superficie de 2820 km2 environ . Il est réparti en 16 délégations. Les habitants sont au nombre de 787 900 et quelque en 2014. La plupart de ses villes bénéficient de l’électricité et de l’eau potable car le taux d’électrification et des villes dessertes en eau s’élève à 99 %. En revanche, le taux des villes urbanisées est dans les environs de 66,4 %. Comme les autres gouvernorats, l’économie de Nabeul se tourne principalement sur l’agriculture, les industries de manufacture mais également le tourisme. On y retrouve 496 entreprises étrangères en 2015. Bon nombre de ces entreprises se lancent dans l’exploitation. Leurs activités concernent l’exploitation de textile et cuir (prêt-à porter, fabrication de chaussures), l’agro-alimentaire (boissons gazeuses), la mécanique électronique (appareils électroniques et électriques). Les potentialités de ce gouvernorat Le secteur le plus prolifique de cette région est l’agriculture. Presque la totalité de la production des agrumes est produite dans la région. Aussi, la moitié de la production de tomates et des pommes de terre du pays y provient. Cela est dû à la fertilité de la terre et la quantité de pluie régulière sur la région. La superficie agricole avoisine 246 000 ha tandis que la superficie qu’on peut labourer est de 185 000 ha. Un peu mois du quart de ces terres labourables est irrigué tandis que la superficie en sec est le reste soit 138 000 ha. L’endroit possède un potentiel fourrager pour l’élevage de bœufs. Concernant les produits agricoles de l’année 2014, Nabeul s démarque par la production de ses grandes cultures de 106 400 t environ. La production des grumes et les tomates est presque similaire, de 265 000 tonnes et quelque pour les tomates. La région a produit 146 500 t de pommes de terre, 335 350 t d’arboriculture, et 855 840 t environ de culture de légumes . La production de lait est de 95 000 t pour l’année 2014, l’oléiculture de 42 000 t environ, et la culture de la vigne de 39 600 t. La région a produit également de volailles de 76 600 t pour l’année 2014, des fraises, des épices et des fleurs de bigaradier. Sans oublier les produits de pêche qui fait 13 480 t pour cette année 2014. Selon ces chiffres, parmi les produits qui figurent en première position dans son exportation, on peut citer les agrumes, les tomates, puis, les épices, les poissons, les huiles d’olive et les vins. Le développement de l’élevage mérite aussi l’attention. On retrouve dans cette région un nombre important de cheptels : 45 500 de bœufs, 160 000 de moutons et de brebis et 27 000 têtes de chèvres. En ce qui concerne les produits de pêche de cette région, ils sont favorisés par la présence de 180 km de côtes propices à l’aquaculture. Nabeul abrite d’ailleurs plus de 560 unités de pêche, et une cinquantaine d’unités frigorifiques. Les grandes réserves de poisson bleu à Hammamet ainsi que ses 3 ports de pêche côtière et son port hauturier contribuent également à la production de pêche. Nabeul-Hammamet est également une zone touristique non négligeable. Pour l’année 2016 par exemple, la saison touristique a affiché une hausse de touristes par rapport à celle de la saison 2015. Les Russes et les Algériens sont la majorité de ces touristes. Le commissaire régional de tourisme de la région a également indiqué que le nombre des touristes qui visitent l’intérieur du gouvernorat connaît également une hausse. Afin de promouvoir le tourisme, il y a également le projet de « cité de tourisme flottante » à Korbous. Le budget dédié à ce projet est de 4 millions de dinars et la cité devrait comprendre des îlots sous forme de la main de Fatma qui s’étend sur 4 km dans la mer et sur 8, 2 km du long de la côte. Le projet inclue la construction d’un hôtel luxueux de 60 étages, quelque 120 immeubles contenant plus de 14 700 appartements. L’objectif est le développement du littoral et la création des zones urbaines. La construction d’un village sportif, des espaces vertes, une zone thermale et des réserves naturelles font également partie de ce projet. Tunisie est le premier à concevoir ce type de projet dans le continent et même dans le monde, car la cité touristique devrait offrir de cures thermales. Une vingtaine de millions de touristes annuels sera attendue lors de l’achèvement de ce projet. Les unités industrielles et les infrastructures de la région La région possède des importantes entreprises telles que la STE VTL1 , La société KEMA , Coccinelle, ASSAD ou encore la société VSL . Cette dernière est par exemple une entreprise tuniso-française totalement exportatrice. Elle exporte de textile. La société ASSAD, quant à elle, fabrique de plaques pour les accumulateurs électriques. Elle exporte également une partie de sa production. Coccinelle, la société exportatrice italienne qui emploie 1300 salariés s’occupe de délavage. La société suisse KEMA qui est également totalement exportatrice de chaussures en cuir emploie 850 personnes. Quant à VTL et VSL, ce sont deux entreprises qui exportent la totalité de leurs produits de prêt-à-porter cuir et chaussures. La première unité industrielle emploie 2500 personnes et 850 salariés pour la dernière unité. Les nombres d’emplois en 2015 sont dans les environs de 51 420. Parmi les autres entreprises dans ce gouvernorat, on peut également citer SOGIP ou la société générale des industries de peinture. Cette société au capital de 1 450 000 dinars tunisiens développe des produits de décoration, de peinture à eau, de solvants etc. Entre autres, il y a aussi Socodal qui produit de conserves de concentré de tomates de plus de 200 t par jour et de harissa de plus de la moitié de la production de tomates par jour. L’évacuation de ces produits se fait par la gare routière, l’autoroute ou encore les ports. Nabeul est sise par exemple à 20 km de l’autoroute, à 3 km de la gare ferroviaire la plus proche et à une soixantaine de km de port le plus proche. La région abrite aussi quelques polycliniques dont certaines sont pluridisciplinaires à l’exemple de la polyclinique de Kelibia, de Hammamet ou de Hel Akim de Korba. On y retrouve également de centres et de cliniques de dialyses. Concernant l’accès aux avancées technologiques, Nabeul n’est pas aussi en reste par rapport aux autres gouvernorats. Il y a en guise d’exemple l’organisation du festival international du webdesign, ou le festival d’animation numérique. L’infrastructure de communication et de réseau est aussi améliorée avec la présence de réseaux de fibre optique dans les villes, les unités industrielles et les universités. Cela a pour effet d’augmenter le taux des ménages équipés en matériels informatiques et la hausse de la densité téléphonique de la région. Les offres d’emploi possibles dans la région de Nabeul La région de Nabeul, en Tunisie, est connue pour son industrie du tourisme et de la poterie. Voici quelques exemples d'offres d'emploi possibles dans cette région : Agent de voyage : la région de Nabeul étant une destination touristique populaire, les agences de voyage ont besoin d'agents pour aider les voyageurs à planifier leurs voyages. Guide touristique : si vous êtes passionné par l'histoire et la culture de la région de Nabeul, vous pouvez devenir guide touristique pour aider les visiteurs à découvrir les sites les plus intéressants. Vendeur de poterie : la poterie est une activité importante dans la région de Nabeul, et de nombreuses entreprises produisent et vendent des poteries. Vous pouvez travailler comme vendeur dans une boutique de poterie ou dans une entreprise qui fabrique des poteries. Chef de cuisine : la cuisine tunisienne est réputée pour ses saveurs uniques, et de nombreux restaurants dans la région de Nabeul ont besoin de chefs pour préparer les plats traditionnels. Agent de sécurité : avec le nombre croissant de touristes dans la région, les entreprises ont besoin d'agents de sécurité pour protéger leurs biens et leurs clients. Employé de l'hôtellerie : la région de Nabeul compte de nombreux hôtels et resorts, et il existe des offres d'emploi pour les employés de l'hôtellerie, tels que les réceptionnistes, les serveurs, les femmes de chambre, etc. Artisan potier : si vous avez des compétences en poterie, vous pouvez travailler comme artisan potier dans l'une des nombreuses entreprises de poterie de la région de Nabeul. Chauffeur de taxi : avec un grand nombre de touristes visitant la région, il y a une demande pour des chauffeurs de taxi pour les transporter d'un endroit à l'autre. Ces sont quelques exemples d'offres d'emploi possibles dans la région de Nabeul, mais il y en a bien d'autres en fonction de des compétences et de des intérêts. Afin de trouver des offres d’emploi, il est préférable de consulter les sites d’emplois .   Les produits et les services de Nabeul à pouvoir exporter à l'étranger Certains produits et services disponibles dans la région de Nabeul peuvent être exportés à l'étranger : Poterie et céramique : la poterie et la céramique sont des produits artisanaux populaires dans la région de Nabeul. Les poteries et céramiques tunisiennes sont souvent décoratives et sont appréciées pour leur qualité et leur authenticité. Tapis et textiles : les tapis et les textiles sont également des produits artisanaux populaires dans la région de Nabeul. Les tapis tunisiens sont souvent faits à la main et sont appréciés pour leur qualité et leur design unique. Huile d'olive : la Tunisie est l'un des plus grands producteurs d'huile d'olive au monde, et la région de Nabeul produit également de l'huile d'olive de haute qualité. L'huile d'olive tunisienne est appréciée pour son goût délicieux et sa qualité supérieure. Cosmétiques : la Tunisie est également connue pour ses produits cosmétiques naturels, tels que l'huile d'argan et le savon noir. Ces produits sont fabriqués à partir d'ingrédients naturels et sont de plus en plus populaires dans le monde entier. Services touristiques : la région de Nabeul est une destination touristique populaire, et les entreprises locales offrent une variété de services touristiques, tels que des visites guidées, des excursions en bateau, des services de transport, etc. Agroalimentaire : La région de Nabeul est aussi riche en culture maraîchère et en fruits. Elle produit du piment, des tomates, des oignons, des melons, des pastèques, des oranges, des grenades, etc. Ce sont quelques exemples de produits et services disponibles dans la région de Nabeul qui peuvent être exportés à l'étranger. Il est important de noter que les entreprises locales peuvent avoir besoin d'une assistance et de conseils pour réussir leur exportation à l'étranger. Les entreprises d’imports et d’exports en Tunisie devront développer des relations avec les chambres de commerce et d’industrie dans un but ultime d’exporter les services et les produits de la région de Nabeul à l’étranger.   Toutes nos offres d'emploi à Nabeul
Présentation de Gabes Les potentialités de la région Les infrastructures de ce gouvernorat Les opportunités d’affaires à développer à Gabes Les possibles exportations des services et des produits de Gabes   Ce gouvernorat a vu le jour en 1956. Sa superficie couvre 7 160 km 2 environ soit quelque 5% de la surface du pays. Il est délimité par la Méditerranée, les gouvernorats de Kibili , de Sfax, de Gafsa et de Medinine. Comme les autres régions qui donnent sur la mer Méditerranéenne, son économie est surtout axée sur la pêche. C’est l’une des zones les plus prolifiques en matière de production de pêche. Mais l’industrie et l’agriculture y tiennent aussi leur place. Zoom sur les chiffres clés de cette région. Présentation de Gabes Ce gouvernorat dispose de 10 délégations et de 11 municipalités. Ses régions sont réparties en montagne, plaine et littoral. On y retrouve également le Mongi Thamer. Ce sont les délégations qui prennent la place des conseils municipaux. Le recensement fait en 2014 a indiqué un nombre d’habitants de 374 000 personnes et une densité de la démographie de 52 habitants par km2.  Moins du tiers de la population est actif. Ce qui le place à la troisième position de nombre de chômeurs dans le pays. C’est selon la déclaration du gouverneur de Gabes qui déclare que le nombre des sans emplois atteint 24 000 et 9 000 d’entre eux sont des sortants de l’enseignement supérieur. Le fléau de chômage est donc important dans cette région. Le gouverneur a ajouté qu’il va prendre des mesures efficaces pour lutter contre ce chômage. Le pôle industriel de la région se concentre sur les industries chimiques qui transforment le phosphate, et produit l’acide phosphorique et le phosphate agroalimentaire. Les transferts se font via le port avec ses onze quais et une vingtaine de postes d’accostage. 41 % de la population active gagnent leur vie dans les industries de manufacture, tandis que 35 % environ sont dans le secteur tertiaire et 23 % dans la filière agriculture. En guise d’info, au cours des premiers mois de cette année, l’APIA a octroyé un fond de 10 millions de dinars pour des projets agricoles. Ces investissements sont censés fournir une quarantaine de postes. Concernant les zones industrielles, elles sont au nombre de 3 dont El Hamma, Gabes, et Métouia-El-Hanouinet. Parmi les industries dans les zones de Gabes, on peut citer entre autres : MFGT, BRI, STARPLAST, SALAKTA fertilizer company, ICF, Soclanex, SMC. L’activité de l’entreprise MFGT s’articule autour de la fabrication du matériel ferroviaire comme la charpente métallique, les conteneurs, la maintenance des usines etc. BRI est également une société qui opère dans les équipements chaudronnés, la construction métallique et le traitement surfacique et thermique. STARPLAST, quant à elle, est une sarl qui produit des emballages alimentaires, cosmétiques etc. en plastique. Quant à SALAKTA fertilizer company, comme son nom l’indique, cette usine offshore est spécialisée dans la fabrication des engrais. ICF, la société anonyme du gouvernement qui passe aux mains des opérateurs privés en 1992 se spécialise, de son côté, dans la production et vente de fluorure d’aluminium. Quant à SOCLANEX et SMC, ces deux entreprises sont toutes les deux versées dans la confection. La première de nationalité française produit des tops féminins en mailles. Quant à SMC, cette SARL fournit des articles en mailles également pour les femmes. La liste est non exhaustive. Ces usines chimiques engendrent la pollution. Celle-ci concerne le sol, la mer et l’air qu’on respire. Ce qui provoque des maladies aux sujets les plus sensibles. Les potentialités de la région Gabes qui est situé à 365 km de la capitale et à 135 km de Sfax se démarque par sa position stratégique. Il est aussi reconnu pour ses sites touristiques naturels, ses grenades et son étendue de long des cotes de 80 km. Son golf méditerranéen renferme des nombreux poissons vivants. Les terres cultivables dans Gabes sont dans les environs de 599 000 ha, les zones irriguées d’entre eux sont quelque 15 800 ha. Les habitants de la région élèvent du cheptel, de bovin, d’ovin, de poule pondeuse, et de camelin. On y retrouve également de caprin. Parmi les produits agricoles de la région, les poules pondeuses et les fourrages sont au premier rang. Ils sont suivis par les grenades, les dattes, l’oléiculture et les produits de pêche. La région produit également du lait, de viande rouge et blanche ainsi que des légumineuses en petite quantité. Le gouvernorat exporte également entre autres de l’acide phosphorique, de fluorure d’ammonium, de DAP, DCP. Et parmi les matériaux de construction, son exportation se tourne autour du sable, de marbre, de pierre, de carreaux, des produits de fabrication de phases de ciment blanc. Les industries manufacturières exportent aussi des produits de textile et d’habillement. Parmi les produits agricoles , on peut citer notamment les exportations de grenades, concombre, fruit de mer, henné, melons, abricots etc. Les infrastructures de ce gouvernorat La région bénéficie d’un climat de température agréable de 18,5°C environ avec une mesure de quantité de pluie de 88 à 230 mm/an. 99 % environ de la population bénéficient de l’électricité et 98 % de la région sont desservis par l’eau potable. Le total de branchement des réseaux d’eau est dans la moyenne de 92 %. En ce qui concerne l’assainissement, le taux de branchement environne 92 %. Gabes possède 27 stations de pompage. Concernant les infrastructures routières, on y retrouve de route nationales, régionales, locales, bitumées et non bitumées. La moitié des routes ne sont pas encore couvertes de bitumes. Il y a également 3 ports maritimes dans le gouvernorat, et un aéroport. La densité de la ligne mobile est de 134 lignes par 100 habitants. Les centres publics de communication sont dans les environs de 330. En ce qui concerne les infrastructures hôtelières, Gabes dispose d’une vingtaine d’hôtels et d’une vingtaine d’agences de voyage et 3 restaurants touristiques. Ses côtes s’ouvrant sur la mer Méditerranéenne de 80 km lui permettent de promouvoir le secteur touristique même si cela ne fait pas partie de la principale source de la région. Il y a également les projets de la ville thermale d’El Hamma, celui de la micro ville moderne de Gabes Al Jadida ainsi que la zone touristique balnéaire de Chott Hamrouni. Ces espaces loisirs sont créés pour développer le tourisme national. 2 musées archéologiques, 7 maisons de culture et une trentaine de festivals permettent d’appuyer le développement de la filière touristique. Pour ce qui en est de centres sanitaires et des centres d’enseignement, le gouvernorat met à la disposition des élèves et étudiants 163 écoles primaires, 130 jardins d’enfants et crèches, quelque 70 lycées et collèges secondaires, et une douzaine d’institutions supérieures. Ces derniers proposent des masters de recherche en géologie de bassins sédimentaires, en chimie, en mathématiques et en chimie ainsi que des masters professionnels en valorisation de géo matériaux et en systèmes de réseaux informatiques. Côté hôpitaux, cliniques et services médicaux, cette région du sud-est possède un hôpital régional, 4 hôpitaux locaux et plus de 80 centres de santé de basse ainsi que quelques cliniques. Notons par exemple la clinique Slama d’hémodialyse , la clinique ophtalmologique du sud, et la clinique Uvlir. Bref, l’économie de cette région est notamment basée sur les industries de manufacture et le secteur tertiaire. Ce qui n’offre que des postes limités aux nombreux sortants universitaires. A noter enfin que le gouvernorat de Gabes a entrepris de jumelage avec les Côtes-d’Armor depuis 1985. Les opportunités d’affaires à développer à Gabes Cette région offre des opportunités intéressantes pour les entrepreneurs et les investisseurs. Voici quelques idées d'activités à développer à Gabès : Agriculture : La région de Gabès est connue pour sa production d'huile d'olive de haute qualité. Il y a également des opportunités dans la production de dattes, d'amandes, de pistaches, de fruits et légumes. Pêche : Gabès est un important centre de pêche et de transformation de poisson. Les opportunités d'affaires incluent la production et la transformation de poissons, la commercialisation de fruits de mer et la distribution de produits de la mer. Tourisme : Gabès est une destination touristique populaire pour les visiteurs en quête de soleil et de plage. Il y a des opportunités pour les investissements dans les hôtels, les centres de villégiature, les restaurants et les activités touristiques. Industrie chimique : Gabès abrite une importante zone industrielle qui comprend des entreprises de production de produits chimiques, de phosphate et de ciment. Il y a des opportunités pour les entreprises qui souhaitent s'implanter dans cette région pour fournir des services et des produits à ces industries. Energie renouvelable : La région de Gabès est propice à l'utilisation de sources d'énergie renouvelable, en particulier l'énergie solaire. Il y a des opportunités pour les investisseurs dans le domaine de l'énergie solaire et des autres sources d'énergie renouvelable. Technologie : Gabès abrite une université renommée et un certain nombre d'entreprises technologiques. Les opportunités d'affaires incluent les services de développement de logiciels, les services de conseil en technologies de l'information, la formation professionnelle et l'incubation d'entreprises technologiques. Gabès offre un large éventail d'opportunités d'affaires. Les entrepreneurs et les investisseurs peuvent trouver des possibilités dans divers secteurs, notamment l'agriculture, la pêche, le tourisme, l'industrie chimique, l'énergie renouvelable et la technologie. Les entrepreneurs peuvent également penser créer de l’emploi pour jeunes en lançant des projets de centres d’appels à Gabes.  Les possibles exportations des services et des produits de Gabes Gabes dispose de plusieurs opportunités pour exporter ses produits et services vers les marchés internationaux. Voici quelques-unes des exportations potentielles pour Gabès : Huile d'olive : La production d'huile d'olive est l'une des industries les plus importantes de Gabès. L'huile d'olive de Gabès est de haute qualité et est très prisée sur les marchés internationaux. Les principaux marchés pour l'huile d'olive de Gabès sont l'Europe, l'Amérique du Nord, et l'Asie. Produits de la mer : Gabès est également un important centre de pêche et de transformation de produits de la mer. Les produits de la mer de Gabès, tels que le thon et les crevettes, sont très appréciés sur les marchés internationaux. Les principaux marchés pour les produits de la mer de Gabès sont l'Europe, l'Asie, et le Moyen-Orient. Produits chimiques : Gabès abrite une importante zone industrielle qui comprend des entreprises de production de produits chimiques, de phosphate, et de ciment. Ces produits sont exportés vers des marchés internationaux, principalement l'Europe, l'Asie, et l'Afrique. Artisanat : Gabès est également connue pour son artisanat local, y compris les tapis, la poterie, les articles en cuir et les bijoux. Ces produits peuvent être exportés vers des marchés internationaux, tels que l'Europe, l'Amérique du Nord et l'Asie. Gabès dispose d'un large éventail de produits et services exportables, allant de l'huile d'olive et des produits de la mer à l'artisanat local et au tourisme. Les entreprises locales peuvent rechercher des opportunités sur les marchés internationaux pour développer leurs activités et diversifier leurs sources de revenus. Les hommes d’affaires de la région doivent décider travailler l’image de marque de Gabes en développant un site web dynamique à travers lequel ils mettront en avant les différents produits et services afin de se positionner sur le marché international, pour cela il faudra faire recours à une agence de communication capable de réaliser une plateforme et assurer un très bon référencement du site web.    Toutes nos offres d'emploi à Gabes
   Présentation de Bizerte Potentialités et ressources de la région Les infrastructures de Bizerte Les secteurs d’activités les plus développés à Bizerte Les possibles investissements à faire à Bizerte   Ce gouvernorat au nord du pays s’ouvre également sur la Méditerranée sur le long de ses côtes de 250 km . Il est délimité par les gouvernorats d’ Ariana , de Manouba , de Beja et la mer Méditerranéenne au nord. Son emplacement stratégique lui confère son statut d’un important centre économique. Zoom sur cette région et ses chiffres clés. Présentation de Bizerte Ce gouvernorat a été fondé en 1956 . La région se fait surtout connaître par son port commercial, son économie agricole et piscicole, ainsi que ses sites touristiques et les traditions de ses industries. Bizerte occupe une surface de 3750 km2 occupé par 568 000 habitants environ en 2014. La région bénéficie d’un taux de croissance de la population de 0,81 % et d’un taux d’urbanisation de 65 %. La population active est un peu plus du tiers des habitants. Le gouvernorat est découpé en 14 délégations et 16 municipaux avec 7 conseils ruraux . Situé à une soixantaine de km de la capitale, et à 5 km du cap bon, cette région très complexe se fait un nom avec ses ressources agricoles, de pêche et des industries. La ville de Bizerte, le chef-lieu du gouvernorat, se démarque par les particularités de ses sites touristiques et la variété et richesse de son littoral. On y retrouve le lac de Bizerte, celui de Ghar El Mleh et le lac et parc protégé d’Ichkeul ( ce dernier fait partie de patrimoine mondial de l’Unesco). La richesse de paysages et des ressources marins de l’ïle Jalta, le cap blanc ainsi que les fleuves de Majerta constituent aussi ses atouts. Cette dernière couvre une vaste superficie de terrains agricoles. Sans oublier l’ancien port antique et le pont mobile qui relie les deux rives du canal de Bizerte. Le gouvernorat est jumelé entre plusieurs villes et municipalités dont la ville de Bizerte, d’Annaba, de Tanger, de Port Saïd. La municipalité de Menzel Bourguiba est également jumelée avec celle de Seine sur mer et de Stuttgart. Le jumelage se fait également entre la municipalité de Bizerte et la ville grecque Kamata. La chambre de commerce et d’industrie de Bizerte a entrepris également un jumelage avec celle de Var et celle de Port Saïd égyptien. Le gouvernorat possède 10 zones industrielles réparties dans la zone AFI, la zone Conseil du gouvernorat, la zone municipale. On y retrouve également 3 zones programmées de l’industrie avec la Zone Utique II et la zone Sejnen. Les parcs d’activités de l’économie (zone franche) sont situés sur les sites Bizerte et celui de Menzel Bourguiba. La région abrite 500 entreprises industrielles dont 228 d’entre eux sont totalement ancrées dans l’exportation. Par ailleurs, la région a un pole de compétitivité et des espaces spécialisés pour les industries alimentaires et les industries plurisectorielles. Les secteurs de ces industries tournent autour de la raffinerie de pétrole, la fabrication de cuir, de chaussures et de textile, la fabrication de navire, de plaisance et leur réparation, ainsi que la conception de pièces mécaniques, électroniques et électriques. 9 % des exportations nationales dans ces matières sont assurés par Bizerte. Potentialités et ressources de la région Comme la plupart des gouvernorats du pays, la région a un taux d’électrification de 99%. Les surfaces desservies par l’eau potable constituent 96 % de Bizerte . Mais il affiche un taux d’urbanisation moins élevé (65 %) que celui de Gabes (70 %) . La région possède quelque 207 000 terres cultivables dont un huitième constitue des zones irriguées. La région possède de forêts et de parcours. La production de légumes secs (17 % de la production du pays), de céréales (13 % ), des tomates (28 %), de lait (18 %) et de viande rouge (15 %) constituent les principaux produits agricoles de Bizerte. A cela s’ajoutent les œufs, le fourrage, la culture des raisins de table, d’olivier ou d’oléagineux et d’arbres. La région produit également plus de 130 000 t de lait par an, 12 330 t de viandes par an, 5 550 t de poisson/ an, 4 080 t de volailles par an ainsi que de l’huile. Côté élevage, on y retrouve plus de 257 000 têtes de brebis, de moutons, plus de 85 000 têtes de bœufs, et 44 600 têtes de chèvres. Le secteur agricole et de la pêche fournit plus de 42 000 emplois aux habitants.  Le développement de l’agriculture et l’élevage est assuré par les importantes ressources hydrauliques dont les barrages de 352 millions m3, la nappe phréatique, les lacs et les barrages de collines. La région possède également de carrières de sable, de forêt et des minerais. Comme les autres gouvernorats près de la côte, la région exporte des poissons, du ciment et clinker. Bizerte est d’ailleurs l’une des zones de pêche les plus influents du pays. En outre, ses exportations concernent également les produits de textile et habillement, des chaussures et des modèles en cuir, les composants électroniques comme les circuits imprimées, les composants électriques comme les câbles de téléphone, les faisceaux de câbles, ainsi que des produits en fer forgés, des faïences et des articles sanitaires. Bizerte bénéficie d’un climat agréable et humide d’une température de 22,75 °C environ avec une mesure de quantité de pluie de 300 à 800 mm par an. Les infrastructures de Bizerte La région dispose des réseaux routiers, ferroviaires, et téléphoniques qui favorisent l’exportation. Elle possède un réseau routier qui la relie aux autres gouvernorats. Une autoroute d’une longueur de 52 km la relie à l’aéroport international. Une ligne de chemin de fer la relie aussi à la capitale et à l’Algérie. En dehors de cela, un réseau de téléphone de 101,6 lignes est dédié aux 100 habitants. En outre, ce gouvernorat a un port de plaisance et un important port commercial. Ce dernier bénéficie d’une position stratégique sur l’axe de Gibraltar et sa proximité d’Europe. Il joue un rôle conséquent dans le développement de la région et de la conquête des marchés européens et méditerranéen. En guise d’info, son trafic de marchandises est plus de 5 664 200 t pour l’année 2014. Le projet d’extension de ce port est d’ailleurs en route depuis 2016. Il s’étendra sur une superficie de 3,5 ha à Bizerte et 10 ha à Menzel Bourguiba. Les équipements collectifs. La région possède plus de 200 écoles primaires et plus de 200 crèches et jardins d’enfants. Une soixantaine de lycées et collèges secondaires ainsi qu’une dizaine d’institutions supérieures forment les élèves et les étudiants. On y retrouve également 4 collèges techniques. Concernant les équipements sanitaires, Bizerte compte 2 hôpitaux régionaux et 4hôpitaux locaux. Les habitants bénéficient également de 17 laboratoires d’analyses et de radiologie, de 90 centres de base ainsi que quelques centres de dialyse. Son point faible c’est le manque du professionnel médical car un médecin prend en charge 1 320 habitants. Concernant les centres de divertissement culturels, le gouvernorat abrite 2 musées archéologiques, 25 bibliothèques, 11 sites archéologiques, et 9 maisons de culture. Quant à l’amphithéâtre en plein air, il peut recevoir plus de 10 000 spectateurs . Enfin, le secteur touristique n’est pas en reste car la région dispose de 18 hôtels dont 8 sont classés. Les amateurs de chasse et plongée-sous marine peuvent également y prendre de cours dans les 3 clubs dédiés à cet effet. Les secteurs d’activités les plus développés à Bizerte Les secteurs d'activités les plus développés à Bizerte sont : L’industrie : Bizerte abrite plusieurs zones industrielles, qui comprennent des entreprises de fabrication de produits chimiques, de textile, de céramique, d'agroalimentaire, et de transformation de métaux. L'industrie représente l'un des principaux moteurs économiques de la ville. Le tourisme : Bizerte est également une destination touristique populaire, avec des plages de sable fin, des monuments historiques, et un port de plaisance moderne. Le tourisme contribue de manière significative à l'économie locale, en créant des emplois et en attirant des visiteurs nationaux et internationaux. Le commerce : Bizerte dispose d'un important port de commerce qui permet l'importation et l'exportation de marchandises vers les marchés internationaux. Le commerce est également un secteur important dans la ville, avec de nombreux commerces locaux et des centres commerciaux modernes. La pêche : Bizerte est également un important centre de pêche et de transformation de produits de la mer. La ville est connue pour sa production de poissons frais, de crustacés, et de coquillages. La pêche est une activité économique importante qui fournit des emplois pour de nombreux habitants de la ville. Les services : Les services sont également un secteur important dans la ville de Bizerte, avec des entreprises de services financiers, de santé, d'éducation, et d'autres services professionnels. Bizerte est une ville diversifiée sur le plan économique, avec des industries, du tourisme, du commerce, de la pêche, et des services, qui contribuent tous à l'économie locale. Pour cela il faudra réaliser un portail web qui serait développé par une entreprise IT à travers lequel on réussira à mettre en avant les secteurs d’activités dont la ville de Bizerte dispose un avantage compétitif concurrentiel sur le marché international.   Les possibles investissements à faire à Bizerte Bizerte présente plusieurs opportunités d'investissement dans divers secteurs économiques. Voici quelques idées d'investissements possibles à faire à Bizerte : Bizerte dispose d'un important potentiel industriel, notamment dans les secteurs de la chimie, de la céramique, de la mécanique et de l'agroalimentaire. Les investissements dans ces secteurs peuvent stimuler la création d'emplois, renforcer la chaîne de production locale et contribuer au développement économique de la ville. Le tourisme est un secteur en croissance à Bizerte, avec un grand potentiel de développement. Les investissements dans des projets touristiques, tels que la construction de nouveaux hôtels, la rénovation des infrastructures existantes, ou le développement de nouveaux sites touristiques, peuvent aider à attirer plus de visiteurs et à augmenter les revenus touristiques de la ville. Bizerte dispose de terres fertiles et d'un climat favorable à la production agricole. Les investissements dans l'agriculture peuvent contribuer à augmenter la production locale, améliorer les infrastructures agricoles et fournir des emplois dans les zones rurales. Bizerte est une ville engagée dans la transition énergétique et la promotion des énergies renouvelables. Les investissements dans des projets d'énergie solaire, éolienne ou hydraulique peuvent contribuer à réduire la dépendance énergétique de la ville et à encourager la production d'énergie verte. Les investissements dans les technologies de l'information et de la communication peuvent aider à renforcer l'infrastructure technologique de la ville et à stimuler l'innovation dans les entreprises locales. Bizerte offre de nombreuses opportunités d'investissement dans divers secteurs économiques. Les investisseurs intéressés peuvent explorer ces secteurs pour identifier des projets prometteurs et contribuer au développement économique de la ville. Les hommes d’affaires opérant à Bizerte devront lancer des projets dans le but de créer de l’emploi pour jeunes. Il faudra penser créer des centres d’appels à travers lesquels il serait possible de mettre en avant et commercialiser les produits et les services disponibles à Bizerte auprès des entreprises à l’étranger appréciant la qualité des services et des produits tunisiens.   Toutes nos offres d'emploi à Bizerte
Présentation du gouvernorat de Tozeur Economie et richesse de la zone Infrastructures et équipements collectifs Les investissements possibles à développer à Tozeur Les possibilités d’exportations pour la ville de Tozeur Ce gouvernorat délimité par Gafsa au nord-ouest, Kébili au sud-est et l’Algérie au nord est l’un des 24 gouvernorats tunisiens. La ville se trouve au sud-ouest du pays et se démarque par le nombre de sa population le moins élevé de la Tunisie et par sa vaste culture de palmeraie. Sa plantation de palmiers dattiers lui donne l’air d’une oasis de verdure dans un climat désertique. Tour d’horizon sur l’économie, les richesses et potentialités de cette région. Présentation du gouvernorat de Tozeur. Ce gouvernorat situé à 450 km de la capitale a vu le jour le 28 mai 1980. Il est connu notamment par sa production des dattes. Le tourisme saharien y est aussi en plein développement. Le gouvernorat s’étend sur une superficie de 5592 km2 environ et possède 6 municipalités et 6 délégations dont Degache, Hazoua, Nefta, Tameghza, Tozeur et Hammet-el-Djarid. En avril 2014, le nombre d’habitants dans la région y est de 108 700 avec un taux de croissance démographique de 1,5 %. Son taux de répartition de l’électricité et de desserte en eau potable est de 99 % tandis que le taux de l’aménagement des zones d’habitation urbaines est de 70, 4 %. Plus de 96 % des jeunes enfants de moins de 14 ans fréquentent les écoles. Concernant la population active, le gouvernorat compte quelque 38 000 personnes actives. Celles-ci sont réparties entre les 1400 emplois recensés dans la région en 2015. Economie et richesse de la zone. La population active se lance dans l’activité de l’agriculture, les services, le BTP, l’administration et l’industrie. L’agriculture est encore l’activité primordiale pour plus de 26 % des habitants. Cette occupation va de pair avec le tourisme. Il s’agit d’une grande culture des jungles de palmiers irriguées par des sources réparties dans 7 750 ha. Certaines de ces plantations abritent des cultures de légumes et d’arbres destinées à l’autoconsommation. On compte 14 330 environ des terres cultivables dans ce gouvernorat et 8360 zones irriguées. 20 00 ha sont occupés par des forêts tandis que la superficie de serres est de 46 ha. La population élève notamment des bovins (750 têtes) , des ovins, (67 500 têtes) , du caprin (30 100 têtes) et quelque 4900 dromadaires. Les volailles, les dattes constituent les principaux produits agricoles de la région. La production de dattes est de 52 000 tonnes par an. Tozeur produit également de viande (2 022 t) , du lait (2 200 t) et d’olivier (450 t). A part ces données, la ville possède également d’autres ressources comme le sel, le potasse, le phosphate, l’énergie solaire etc.  La région est aussi une zone touristique non négligeable même s’il n’y a pas un afflux important de touristes ces dernières années. Elle possède une infrastructure touristique variée répartie à 48 hôtels, 7 campings et centres de loisirs pour famille, 42 agences de voyages, 4 restaurants touristiques. A cela s’ajoutent les terrains de golf, les palmeraies, les 6 musées archéologiques. Tozeur attire les touristes par son climat doux et ses paysages d’exception. La température moyenne y environne 23 ° C et les précipitations s’échelonnent entre 0.7 et 10.7 mm.Le grand lac Chott-el-Djérid, les vestiges des mosquées en terre cuite, le musée traditionnel Dar Zemen, le Zoo, le musée Dar Chraiet figurent parmi les sites à ne pas manquer lors d’une visite dans la région. Dans cette ville arabo musulmane, on retrouve également des souks de médina avec ses tapis muraux, ses babioles etc. A part cela, la ville abrite également 1 complexe sportif, 5 centres culturels, 12 bibliothèques, 8 maisons de jeunes, et 8 stades sportifs. Afin de promouvoir le secteur de tourisme dans cette région du sud, l’office national du tourisme a d’ailleurs lancé des campagnes de promotion pour attirer les touristes espagnoles. D’autant plus que la moyenne des nuitées de touristes a connu une baisse depuis la dernière décennie. Le gouvernement prévoit également la hausse de vols internes reliant Tozeur- Nefta et la baisse du tarif Tunis-Tozeur. Il envisage également de reprendre la ligne Tozeur-Paris. En outre, le gouvernement propose une prise en charge de 8 % en dehors du prix du terrain pour la création d’une salle de théâtre à Tozeur et 15 % du coût du projet en dehors du coût du terrain pour les services dédiés aux loisirs. Ces derniers incluent la création d’un parc de loisirs pour la famille et l’enfant, ou la création d’un centre de résidence ou de camping.  Le conseil ministériel a également pris des mesures à l’encontre du secteur de l’agriculture afin de renforcer la dynamique de la région. Il s’agit de la création d’une sixième délégation à Hammet-el-Djarid l’année 2016 et de la suppression de la moitié des dettes de développement agricole. Le gouvernement prendra aussi en charge l’élaboration d’un projet pour redistribuer les lots agricoles domaniaux. Concernant le secteur industriel et services, on retrouve quelques zones industrielles dans cette région. 2 zones municipales sont situées chacun à Nefta et à Tozeur. Une zone conseil du gouvernorat est localisée à Hezoua. On retrouve également 3 zones à Degache, 1 zone AFI, 1 zone municipale à Hammet Djarid et 1 zone de conseil de gouvernorat. Afin d’inciter les investisseurs à investir dans la région, l’Etat accorde des avantages spécifiques pour les délégations. Le gouvernement propose un prime d’investissement allant jusqu’à 25 % de l’investissement global et un fonds de démarrage incluant un plafond de 1 million 500 dinars tunisiens. S’il s’agit de nouveaux promoteurs, cette incitation est de 30 % avec un plafond de 2 millions de dinars tunisiens. L’Etat prend aussi en charge la cotisation patrimoniale au régime de la sécurité sociale au cours de 10 premières années de l’activité de l’entreprise. Il offre également une prime aux dépenses d’infrastructure de 85 % des montants mis en œuvre par la société. Infrastructures et équipements collectifs. Pour évacuer les produits de cette ville traditionnellement agricole, la région dispose de 232 km de routes nationales, de 36 km de routes régionales, et de 262 km de routes locales. Le gouvernorat possède également un aéroport et une ligne ferroviaire qui relie Tozeur et Tunis . Le taux de densité téléphonique pour le téléphone fixe y est de 13,4 % et pour les mobiles de 33 % environ. 4500 habitants sont desservis par un bureau de poste. La population de cette zone dont la superficie est de 2,9 % du pays bénéficie également d’une couverture sanitaire même si elle est encore insatisfaisante. En effet, un médecin y soigne 1 113 habitants selon les chiffres. Les hôpitaux régionaux sont au nombre de 3, les hôpitaux locaux au nombre de 4. On y retrouve également 29 centres de santé de base, 8 laboratoires d’analyses, 1 clinique et 16 pharmacies. L’enseignement n’est pas en reste car la région abrite 2 institutions supérieures, une trentaine de lycées et collèges secondaires, une cinquantaine d’écoles primaires et 82 crèches et clubs d’enfants. Les investissements possibles à développer à Tozeur Plusieurs idées d’investissements sont possibles à développer à Tozeur : Tourisme : Etant donné que Tozeur est une destination touristique populaire pour les visiteurs qui cherchent à explorer le désert et à découvrir la culture tunisienne. Les investissements dans l’hôtellerie, les restaurants, les activités touristiques et la promotion de la ville peuvent être très rentables. L’agriculture : La région de Tozeur est également connue pour son agriculture, notamment pour sa production de dattes, de légumes et d’huile d’olive. Les investissements dans l’irrigation, la technologie agricole, la distribution et la promotion de ces produits peuvent offrir de bonnes opportunités d’affaires. L’énergie solaire : Tozeur bénéficie d’un ensoleillement important tout au long de l’année, ce qui en fait une région idéale pour les investissements dans l’énergie solaire. Les projets de production d’énergie solaire peuvent être rentables et bénéfiques pour l’environnement. Les industries manufacturières : Tozeur dispose d’un certain nombre d’avantages pour les entreprises manufacturières, notamment des coûts de main-d’œuvre compétitifs, une localisation stratégique et un accès facile aux marchés internationaux. Les investissements dans la production de biens manufacturés tels que les textiles, les produits alimentaires et les produits en cuir peuvent être rentables. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) : Les TIC sont en plein essor en Tunisie et Tozeur pourrait être une bonne option pour les investissements dans ce secteur. Les investissements dans les infrastructures de télécommunication, les services de développement de logiciels, les centres d’appels et d’autres services liés aux TIC peuvent offrir de bonnes opportunités d’affaires. Les investissements possibles à développer à Tozeur incluent le tourisme, l’agriculture, l’énergie solaire, les industries manufacturières et les TIC. Ces secteurs offrent de bonnes opportunités d’affaires et peuvent contribuer au développement économique de la ville et de la région. Plusieurs entreprises IT sont capables d’investir et à développer la ville de Tozeur.   Les possibilités d’exportations pour la ville de Tozeur De nombreuses possibilités d’exportation sont envisageables et réalisables dans la ville de Tozeur notamment : Les produits agricoles : La région de Tozeur est connue pour sa production de dattes, de légumes et d’huile d’olive. Ces produits peuvent être exportés vers les marchés internationaux, en particulier vers les pays voisins comme l’Algérie et la Libye, ainsi que vers les pays européens. L’artisanat : Tozeur est également connue pour son artisanat traditionnel, notamment pour la poterie, les tapis et les objets en cuir. Ces produits peuvent être exportés vers les marchés internationaux, en particulier vers les pays Européens et les États-Unis. Les produits manufacturés : Tozeur dispose d’une main-d’œuvre compétitive et d’un emplacement stratégique pour l’exportation de produits manufacturés, tels que les textiles, les produits alimentaires et les produits en cuir. Ces produits peuvent être exportés vers les marchés internationaux, en particulier vers les pays voisins et les pays européens. Le Tourisme : Tozeur est une destination touristique populaire pour les visiteurs qui cherchent à explorer le désert et à découvrir la culture tunisienne. Les entreprises touristiques de Tozeur peuvent développer des offres de tourisme spécifiques pour les marchés internationaux, en particulier vers les pays européens et les pays du Golfe. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) : Les entreprises de TIC de Tozeur peuvent exporter des services de développement de logiciels, des centres d’appels et d’autres services liés aux TIC vers les marchés internationaux, en particulier vers les pays européens et les États-Unis. Les possibilités d’exportation pour la ville de Tozeur comprennent les produits agricoles, l’artisanat, les produits manufacturés, le tourisme et les TIC. Ces secteurs offrent des opportunités d’exportation et peuvent contribuer au développement économique de la ville et de la région. Les entreprises tunisiennes qui opèrent dans l’import/export peuvent entrer en contact avec les chambres de commerce et d’industrie afin d’exporter les produits de Tozeur à l’étranger.     En conclusion. Cette région du sud Ouest du pays est notamment un gouvernorat agricole mais le tourisme saharien commence aussi à attirer de plus en plus de visiteurs. La douceur du climat, les excursions dans le désert, la découverte de ses spécificités incitent les étrangers à la visiter. Ces derniers peuvent visiter en toute sécurité cette partie de la Tunisie grâce aux quelques infrastructures routières, ferroviaires implantées dans la zone. Toutes les offres d'emploi à Tozeur
Localisation et géographie de Jendouba Caractéristiques économiques de la zone Infrastructure et équipements collectifs Les secteurs d’activités développés dans le gouvernorat de Jendouda Le développement économique possible à réaliser à Jendouba Ce gouvernorat a vu le jour le 21 juin 1956. Il fait partie des 24 gouvernorats de Tunisie. Situé à 150 km de Tunis, au nord-ouest du pays, la région abrite quelque 401 000 habitants répartis dans une superficie de 3 102 km 2 selon le recensement fait en 2014. Ces habitants constituent environ 4 % de l’ensemble de la population. Subdivisé en 9 délégations, 9 municipalités et 95 imadas, ce gouvernorat se démarque par ses pluies attendues plus fréquemment et ses précipitations annuelles qui peuvent atteindre 1 000 mm voire plus de 1 500 mm dans certaines villes. Présentation de Jendouba et ses chiffres clés. Localisation et géographie de Jendouba. Ce gouvernorat de la Tunisie situé à une cinquantaine de km de la frontière algéro-tunisienne est délimité par les gouvernorats de Kef et Siluana au sud et par celui de Beja à l’ouest. Au nord, il est limité par la mer Méditerranée avec une ouverture d’un littoral de 25 km. Il couvre 2 % de la superficie totale du pays. La population totale est estimée à 401 477 en 2014. La densité par habitant de ce gouvernorat présidé par Mohamed Sedki Bouaoun environne 129 personnes par km2. Les pluies fréquentes le caractérisent et elles peuvent atteindre plus de 1500 mm à Aïn Draham, l’une de ses cinq micro régions. Du point du vue administratif, le gouvernorat présente 9 délégations, 9 municipalités et 10 conseils ruraux. Ces 9 délégations sont Jendouba sud, Jendouba nord, Oued Meliz, Tabarka, Bou Salem, Ghardimaou, Aïn Draham, Balta-Bou Aouane, et Fernana. Jendouba sud et Ghardimau ont le plus grand nombre d’habitants. Pour la petite histoire, Jendouba était appelé Souk Elarba avant 1966 et Bou Salem baptisé Souk El Khemis avant cette même année. Caractéristiques économiques de la zone. Jendouba est une région traditionnellement agricole. Mais le tourisme y est aussi un secteur florissant notamment dans les régions de Aïn Draham et de Tabarka . La population active se lance dans la culture de céréales, la culture de légumes, des arbres. L’économie est également fondée sur l’élevage. La superficie des terres cultivées est 286 200 ha, soit 92 % de la superficie de Jendouba. 118 470 ha sont occupés par des forêts. 4,7 % de la production du pays vient de cette région. On cite entre autres la production de bois, de liège, de tabac, de pommes de terre, de légumes, de lait mais aussi des céréales. Le secteur touristique y est en plein essor dû à son potentiel balnéaire et à ses forêts ainsi qu’à son i nfrastructure touristique développée . Le terrain de golf de 110 ha, l’ aéroport international de Tabarka , une trentaine d’ hôtels de plusieurs catégories, le port de plaisance , la station thermale de Gourguiba contribuent beaucoup à ce développement du tourisme. Pour rappel, cette station sise à 20 km de Tabarka acquiert une réputation dans le traitement des maladies de voies respiratoires. L’estimation des demandes y est évaluée à 1 390 000 nuitées. Hammam Bourguiba n’est pas la seule station thermale de la région. Elle abrite également d’autres sources chaudes comme Ouchtata et Eshaline. Parmi les hôtels les plus connus, on peut citer l’hôtel 5 étoiles la Cigale sise à Tabarka, le 4 étoiles Mehari Tabarka Thalasso et spa, le 3 étoiles le Mimosa, le 4 étoiles El Mouradi Hammam Bourguiba et le 4 étoiles Marina Prestige Tabarka. Afin de promouvoir le tourisme, le gouvernorat met aussi en place un tourisme culturel orienté sur le patrimoine de l’archéologie comme à Cemtou ainsi que des fêtes internationales comme le Tabarka Jazz Festival . Le parc naturel d’El Feija attire également les touristes. Concernant l’industrie, comme tous les autres gouvernorats, le gouvernorat compte 155 entreprises dont 31 d’entre eux sont des entreprises étrangères. Ces entreprises emploient 4268 personnes (statistique 2015), soit quelque 36 % de la population active de la région. Ce sont des petites et moyennes entreprises dont le nombre moyen des salariés atteint 27 personnes. Mais on y trouve cependant quelques grandes structures où l’effectif des employés peut atteindre plus de 400 personnes. Les plus grandes entreprises nationales dans la région sont le complexe sucrier de Tunisie et la laiterie du nord-ouest . Il y a également quelques zones industrielles dans ce gouvernorat. Ces zones sont réparties dans le chef-lieu Jendouba, à Bou Salem et à Tabarka I et II. Ces zones sont composées de 110 lots sur une superficie de 36 ha. Il y a également un projet d’une création d’une autre zone industrielle à Bulla Régia. Celle-ci s’étendra sur une superficie de 37 ha. L’activité des industries de Jendouba s’articule autour de l’agroalimentaire, l’investissement, et l’emploi industriel. La première bénéficie de 54 % des projets. La deuxième détient 83 % des activités industrielles. Tandis que l’ emploi industriel occupe 40 % des activités des entreprises. A noter que depuis la création de ces zones industrielles, on assiste à un développement progressif du secteur de l’industrie et une agglomération dans les villes. Infrastructure et équipements collectifs. Le taux de répartition en électricité est de 99, 7 % tandis que le taux de desserte en eau potable de Jendouba est de 99,3 %. En revanche, les mesures économiques, administratives, techniques et sociales qui assurent un développement harmonieux des agglomérations ne sont pas encore très poussées dans ce gouvernorat. Le taux d’urbanisation y est en effet 27,9 %. Malgré cela, bon nombre d’enfants et de jeunes gens sont scolarisés (91,8% en 2015). Côté infrastructure, le gouvernorat possède une ligne de chemin de fer qui assure la liaison entre la capitale à l’Algérie. Cette ligne ferroviaire passe à travers les villes de Bousalem, Jendouba et Ghardimaou sur 76 km de long environ. On note également l’aéroport international de Tabarka ainsi que le port de plaisance de cent places et le port moderne. Ces deux infrastructures sont toutes localisées à Tabarka. Pour évacuer les productions de cette ville agricole et industrielle, il existe également un réseau routier qui couvre 1200 km . L’autoroute A3 reliant Oued Zarga et Bou Salem devrait compléter ce réseau. La société régionale de transport de Jendouba prend en charge le transport routier dans la région. Par ailleurs, le développement de l’agriculture et de l’élevage sont aussi assurés par l’existence des ressources hydrauliques . On y compte 4 barrages, 39 lacs de collines et 17 barrages de collines. Ces superficies d’eau produisent un total de 330 millions de mètres ³ d’eau. Ces barrages sont complétés par deux autres barrages nouvellement construits afin de permettre une bonne alimentation de la ville, et une bonne irrigation de culture. Ces derniers sont situés à Oued Mliz et Ghardimaou. Il s’agit toujours des lacs collinaires. La finition de ces ouvrages hydrauliques assure une production d’eau de 431 millions de m3. Ce qui rend le gouvernorat le principal réserve de la Tunisie. Côté équipement sportif, le gouvernorat possède un club omnisport professionnel ainsi que quelques clubs amateurs et professionnels dans des disciplines variées. Et enfin concernant les établissements universitaires présents dans cette région, on y retrouve une université, une faculté des sciences juridiques, d’économie et de gestion, un institut supérieur des sciences humaines, un centre de langue, une école de santé à Jendouba et un institut supérieur des études de technologies. A cela s’ajoutent les 31 collèges et 18 lycées secondaires, une dizaine de centre de formation professionnelle et une école de tourisme . Toutes les offres d'emploi à Jendouba Les secteurs d’activités développés dans le gouvernorat de Jendouda Jendouba possède un certain nombre d’industries. Voici quelques-uns des principaux secteurs d’activités développés : Agriculture : Le gouvernorat de Jendouba est connu pour ses cultures de céréales, d’oliviers, de fruits et de légumes. La région est également réputée pour son élevage de bétail. Industrie du bois : Jendouba est l’un des principaux producteurs de bois en Tunisie, avec des entreprises spécialisées dans la fabrication de meubles, de portes et de fenêtres. Industrie alimentaire : La région est également connue pour sa production de produits alimentaires tels que les conserves, les confitures et les huiles d’olive. Textile : Il y a plusieurs entreprises de textile dans le gouvernorat de Jendouba, qui produisent des tissus et des vêtements pour l’exportation. Tourisme : Le gouvernorat de Jendouba possède également un grand potentiel touristique, avec ses paysages naturels et ses sites archéologiques importants, tels que les ruines romaines de Bulla Regia. Jendouba est caractérisé par une économie diversifiée, avec une forte présence de l’agriculture, de l’industrie du bois, de l’industrie alimentaire, du textile et du tourisme. Afin de mettre en avant les secteurs d’activité en avant, il faudra que les autorités pensent réaliser un site web, pour cela il faudra faire recours à une entreprise IT . Le développement économique possible à réaliser à Jendouba Il existe plusieurs axes de développement économique possible à réaliser dans le gouvernorat de Jendouba : Développement de l’agriculture : Bien que l’agriculture soit déjà un secteur important dans la région, il y a encore un grand potentiel de développement en termes de modernisation des techniques agricoles et d’augmentation de la production. Les agriculteurs pourraient être encouragés à adopter des techniques plus efficaces pour la gestion des cultures et de l’eau, ainsi qu’à diversifier leur production pour répondre à une demande croissante. Développement de l’industrie manufacturière : La région possède une base industrielle solide, en particulier dans le secteur du bois et de l’industrie alimentaire. Il serait possible de développer davantage ces industries et d’encourager l’émergence de nouvelles entreprises manufacturières pour créer plus d’emplois et augmenter les exportations. Promotion du tourisme : Le gouvernorat de Jendouba possède un grand potentiel touristique, mais il est encore peu développé. Il serait possible de promouvoir davantage la région pour attirer des visiteurs nationaux et internationaux, en développant les infrastructures touristiques et en mettant en valeur les sites naturels et archéologiques. Encouragement de l’entrepreneuriat : Pour stimuler l’innovation et la création d’emplois, il serait important de mettre en place des programmes de soutien à l’entrepreneuriat, en offrant des formations, des financements et des accompagnements aux jeunes entrepreneurs. Développement des énergies renouvelables : La région dispose d’un grand potentiel en matière d’énergies renouvelables, en particulier l’énergie solaire. Le développement de ces énergies pourrait réduire la dépendance énergétique de la région et encourager les investissements dans ce domaine. Le développement économique de Jendouba pourrait être stimulé en valorisant ses atouts naturels, en modernisant ses infrastructures et en encourageant l’innovation et l’entrepreneuriat. Les jeunes hommes d’affaires qui opèrent sur le gouvernorat de Jendouba peuvent entrer en contact avec les chambres de commerce et d’industrie afin d’étudier les possibilités d’exporter certains produits à l’étrange.